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Nous sommes en Guinée, un État d'Afrique occidentale, il a une superficie de 245 857 km² et 10 324 000 habitants

les Guinéens

. Les langues parlées sont le français qui est la langue

officielle

, le Mandingue

malinké

, peul, soussou, etc. Sa capitale est Conakry.

Notre histoire commence à Conakry la capitale de la Guinée nous nous retrouvons dans une très grande maison, la maison est tellement grande qu'on dirait un château. C'est la famille Camara l'une des familles les plus riches de la Guinée. Dans cette famille, nous avons le père Oumar, sa femme Mariame et leurs trois enfants Ahmed l'aîné, Kadiatou la deuxième et Binta la dernière. 

Cette fois-ci, nous nous retrouvons dans une très grande chambre avec une décoration à la perfection, on voit une très belle fille couchée sur le lit, c'est Kadiatou deuxième enfant de la famille.

                                   ~~ Kadiatou ~~

Ah ! Non encore une de ces maux de tête, je n'ai pas pu dormir durant toute la nuit je suis rentrée assez tard hier soir du travail, tout ce que j'ai envie, c'est de dormir, mais ça aussi je ne peux pas, car je dois me rendre au travail.

Oups ! Désolé, je ne me suis pas présentée, je m'appelle Kadiatou Camara, j'ai 22 ans, je suis un mannequin international. J'ai débuté dans ce milieu quand je n'avais que 17 ans et aujourd’hui, je suis fière de ce que j'ai pu faire depuis le début de ma carrière jusqu'à maintenant et ma famille qui a toujours été là pour me soutenir. J'entends quelqu’un cogné à la porte.

Moi :oui entré, je vois la personne entrée, c'est la domestique.

Domestique : mademoiselle votre mère, vous s'appele en bas pour le petit-déjeuner.

Moi : ok, je descends dans quelques instants. J'entre dans la salle de bain pour prendre un bain rapide et je m'habille rapidement avec un maquillage léger j'attends ma mère m'appeler.

Ma mère : Kadiatou à table. Crie ma mère, elle ne me laissera pas tant que je ne descends pas Je sors enfin de la chambre pour me joindre aux autres, je trouve tout le monde réuni autour de la table, je fais un bisou rapide à tout le monde avant de m'asseoir.

Ma mère : qu'est-ce qui t'a pris trop de temps pour descendre ?

Binta : encore une de ses nuits blanches comme si tu ne connais pas ta fille. En buvant le café qui était en face d'elle.

Ma mère : ma fille, tu dois essayer de penser à toi aussi, pourquoi ne pas prendre quelques jours de congés.

Moi : maman, tu sais que je ne peux pas laisser mon travail pour des futilités et en plus, je ne fais confiance en personne.

Mon père, qui n'avait pas parlé depuis le début de la conversation, s'en est aussi mêlé.

Mon père : Kadiatou tu dois nous écouter parfois, prendre un peu de repos ne va rien gâcher sur ton travail, en plus, il y a ta meilleure amie qui peut s'occuper de tout pour un moment.

Ahmed : papa, maman, vous perdez votre temps, vous savez qu'elle ne va rien faire de telles.

Binta : moi, je ne dis rien.

Moi : bon moi, je dois me rendre au bureau, le repas était délicieux même si vous ne m'avez pas laissé bien savoureux mon plat, à ce soir, je sors enfin de la table, je prends mon sac pour partir, j'entends la voix de ma mère derrière moi.

Ma mère : réfléchi sur ce qu'on t'a dit ma chérie, c'est pour ton bien. Je l'ai juste répondue sans me retourner.

Moi : ok maman, je vais réfléchir même si ça sera toujours la même réponse. Je sors de la maison, ce n'est pas toujours facile avec ma mère, mais je l'aime.

~~ point de vue l'auteur ~~

Les autres aussi se lèvent pour se rendre au travail.

Oumar : nous aussi, on doit se rendre au bureau, il fait un bisou à sa femme avant de se retourner vers son fils, on peut y aller maintenant Ahmed ?

Ahmed : oui papa, il se lève et fait un bisou à sa mère bonne journée maman prend soin de toi.

Mariame : toi aussi mon chéri.

Oumar : Binta tu n'es pas en retard pour l'université en regardant sa montre à la poigné.

Binta : je finis ça et je pars même si je n'ai pas envie d'y aller. En murmurant sous sa bouche.

Oumar : à ce soir.

Oumar est un architecte reconnu dans le pays son fils à suivi ses pas en devenant lui aussi un architecte, il est le DG de l'entreprise.

Binta : bye maman chérie.

Mariame : mais attend pourquoi tu es si pressée ?

Binta : s'il te plaît maman, je n'ai pas du tout envie de répondre à tes questions, je dois y aller.

Mariame : mais... Elle était déjà partie, je ne comprends jamais cette fille. Je suis encore seule dans cette immense maison dieu merci ma sœur et ma nièce seront là dans quelques jours avec elle, je ne m'ennuie jamais. Elle monte dans la chambre.

~~ Kadiatou ~~

J'arrive dans ma bagnole de la dernière mode qui vaut des millions, en descendant mon téléphone se met à sonner, j'ouvre mon sac et prends mon téléphone en voyant le nom affiché je prends un bon coup, c'est la dernière personne à qui je veux parler.

Moi : oui

- bah ! Quelle façon de répondre. Je Soupire.

Moi : qu'est-ce que tu veux, Abdoul ? Je te rappelle que je dois me mettre au travail.

Abdoul : et moi, je te rappelle qu'on est ensemble.

Abdoul est mon petit ami, nous sommes ensemble, ça fait 1 an, ce n'est pas une relation comme les autres, Abdoul a commencé à courir derrière moi, lors d'un gala de charité, mais je l'ai complètement ignoré, si je l'ai accepté, c'est parce que ma mère et mes deux amies m'y ont obligé comme je ne vous l'ai pas leur faire la peine, j'ai donc accepté. 

Abdoul : Kadiatou tu es là ?

Moi : Abdoul, je suis au bureau, j'ai beaucoup de travaille, je dois raccrocher.

Abdoul : attend ne raccroche pas et si je t'invite à dîner ce soir ?

Moi : écoute Abdoul... Il me coupe la parole.

Abdoul : s'il te plaît ne refuse, je sais que tu as beaucoup de travail, mais sortons en amoureux ce soir aller s'il te plaît. Je Soupire.

Moi : ok, on se retrouve ce soir.

Abdoul : je viens te chercher ce soir.

Moi : non, ce n'est pas la peine envoie-moi l'adresse par e-mail.

Abdoul : ok, je t'aime.

J'entre dans le hall de mon entreprise avec une démarche digne de ce nom, tous les employés se mettent à me saluer je les réponds avec un sourire à la lèvre. Je suis toujours chaleureuse avec mes employés, j'entre dans l'ascenseur pour me rendre dans le bureau, mon bureau est tellement grand avec des baies vitrées qui donnent la vue à la capitale. Je m'assois derrière mon bureau pour me mettre au travail, j'appelle mon assistante pour me faire monter un café bien chaud et en même temps me donner le programme d'aujourd'hui. J'entends la porte de mon bureau s'ouvrir. Une fille grande de taille entre, elle a une beauté de rêve qui peut faire tomber tous les hommes, mais elle n'a d'yeux que pour une seule personne mon frère Ahmed. Bon, bon, je crois que lui est beaucoup commentée comme ça, c'est ma meilleure amie, Ami diminutif d'Aminata.

Ami : salut toi. En me faisant la bise sur la joue.

Moi : bah ! Dis-donc tu es en forme ce matin, est-ce que tu t'ais tapé un autre mec.

Ami : pas du tout, tu sais que je n'ai d'yeux que pour un seul homme.

Moi : je sais. En prenant sa main, mais tu ne vas pas rester à attendre un homme qui te regarde autrement, il te voit comme sa sœur. Je pense que tu dois laisser tomber essaye autre chose. Elle se met à rire.

Ami : je rêve, ou tu viens de me donner un conseil quelqu’un qui s'en fiche complètement de ces choses. Je me lève pour venir à côté d'elle.

Moi : ma chérie, je sais que nous n'avons pas les mêmes visions sur l'amour, mais il s'agit de ta vie sauf si tu te décides de lui dire ce que tu ressens pour lui, mais j'ai peur qu'il te brise le cœur. Elle voulait me répondre, mais quelqu’un Cogne à la porte.

Moi : oui, entre. C'est mon assistante.

Assistante : Mme votre café .

Moi : tu peux le déposer sur la table,et le programme d'aujourd'hui ?

Assistante : vous avez un shooting photo à partir de 12 h jusqu'à 13 h, un rendez-vous avec le nouveau collaborateur de 16h30min à 17h30min et enfin à 18 h, vous devez vous rendre dans l'entreprise de votre père, c'est tout en fermant son agenda.

Moi : ok, merci.

Assistante : je vous laisse.

Elle reprend la parole. 

Ami : arrêtons de parler de moi maintenant, comment ça se passe entre toi et Abdoul. 

Moi : toujours la même chose.

Moi : je commence à croire que ce n'est pas lui ton âme-sœur, peut-être qu'il y a un prince charmant quelque part qui te fera un jour battre ton cœur.

Moi : à ce que je sache, c'est vous qui m'avez poussé dans ses bras, moi, je ne voulais pas de cette relation.

Ami : oui, je me rappelle très bien, mais si cette relation n'aboutit à rien, ça serait mieux de laisser tomber.

Moi : il m'a invité ce soir.

Ami : voilà une bonne idée, Kadiatou, tu dois te décider sur ce que tu veux faire de cette relation, on parle d'une relation d'un an, pas une semaine, tu dois prendre une décision, c'est pour ton bien et pour son bien aussi. Quelle que soit ta décision, je te soutiendrais toujours.

Moi : je sais.

Ami : je dois partir, j'ai du travail bye.

Ami : bye

Quelques heures plus tard

Je me rends dans mes différents rendez-vous, à 18 h je suis dans l'entreprise de mon père, c'est une très grande entreprise, plus grande que mon entreprise.

J'entre dans l'ascenseur pour me rendre dans le bureau de mon père, en marchant, je reçois un mail d'Abdoul, j'étais concentrée sur mon téléphone quand j'entre en collision avec une personne, ce que je remarque d'abord, c'est l'odeur de son parfum, je relève mes yeux vers cet homme arrêté devant moi, grand de taille, un teint clair avec une barbe bien rasée.

Moi : je suis désolée.

- vous ne pouvez pas regarder où vous allez ?

Moi : excusez-moi, je me suis déjà excusée à ce que je sache ?

- En plus de ça, elle a une grande bouche.

Moi : je ne vais pas vous permettre de mon parler de cette façon.

- c'est vous qui allez m'apprendre comment parler, quelle bonne blague.

Moi : vous savez quoi c'est une perte de temps de vous parler.

- Vous... Je ne le laisse pas terminer sa phrase que je lui laisse planter où il était pour me rendre dans le bureau de mon père, il a complètement gâché mon humeur.

Moi : bonsoir papa

Mon père : bonsoir chérie, tu as une de ces têtes qu'est-ce qui ne va pas ?

Moi : ce n'est rien de grave j'ai juste croisée quelqu’un que je n'aurai jamais dû croiser.

Mon père : c'est qui cette personne ?

Moi : ce n'est pas important, toi dit moi comment évolue le travail ?

Mon père : ça va, nous avons un nouvel investisseur et dans quelques jours les 10 ans de l'entreprise.

Moi : oh, j'ai complétement oublié.

Mon père : et j'espère que tu ne vas pas manquer à cette fête.

Moi : rassure-toi papa, je serai là.

Ahmed : papa les dossiers à signer, salut Kadiatou.

Moi : salut !

Mon père : dépose-les sur la table, je les signerais plus tard.

Moi : bon, moi je vous laisse j'ai du travail à plus tard.

30 min plus tard

Je suis enfin à la maison, je trouve ma mère au salon, je la serre dans le bras.

Moi : bonsoir maman.

Ma mère : comment tu vas ?

Moi : je vais bien et Binta ?

Ma mère : elle n'est pas encore rentrée.

Moi : Quoi ? Mais maman à cette heure, elle devrait être à la maison, je vais essayer de l'appeler.

Ma mère : je l'ai appelé à mainte reprise, son téléphone est sur le répondeur.

Moi : je vais essayer aussi. Je vous l'ai composé son numéro quand je la vois rentrée.

Moi : mais où tu étais Binta ?

Binta : à l'université pourquoi ?

Moi : tu as vu l'heure ?

Binta : pourquoi tu me poses toutes ces questions à ce que je sache, tu n'es pas ma mère. Je suis choqué par sa manière de me parler.

Ma mère : alors moi, je suis ta mère et j'exige une réponse et tout de suite.

Binta : maman, je suis fatiguée et je ne suis pas obligée de vous donner une réponse.

Moi : Binta ! Crie, ai-je, je te signale que tu parles à ta mère.

Binta : et moi, je ne suis pas une petite fille à qui on doit surveiller ses allers et retours. C'est à ce moment que mon père et mon frère rentre.

Mon père : Binta, est-ce une façon de parler à ses aînés ?

Binta : papa... 

Mon père : excuse-toi tout de suite.

Binta : désolée, après elle, monte dans sa chambre.

Ma mère se met à pleurer. 

Ma mère : qu'est-ce qui ne va pas avec ma fille pourquoi elle réagit comme ça ?

Moi : eh, maman calme, toi, tu connais comment elle est ta fille.

Ahmed : maman, Kadiatou à raison calme-toi et arrête de penser à ça maintenant.

Ma mère : ok. Je lui fais un bisou sur le front et monte dans ma chambre. Je prends un bain, je me repose un peu à 21 h, je me prépare pour mon rendez-vous.

J'arrive dans le restaurant un des serveurs viens m'accueillir.

Serveurs : bonsoir Mme.

Moi : bonsoir, je cherche la table numéro 10.

Serveurs : venez par là.

Il m'amène vers la table 10, je lui vois assis, il me fait un coucou de la main.

Moi : bonsoir !

Abdoul : il se lève en tirant la chaise pour moi.

Moi : merci. J'espère que je ne t'ai pas fait attendre.

Abdoul : s'il le faut, je pourrai t'attendre durant toute la vie.

 Moi : Abdoul à propos de ça, je dois te parler de quelque chose.

À suivre...

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