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Monsieur Neko bouaké, cet homme qui me rend folle et il le sait, je l'imagine en cet instant nu couché sous ses draps, le bangala en l'air en train de se masturber en pensant à moi.

Son banderas on en parle, il est impressionnant, gros comme je les aime et bien long, il ferait frémir n'importe quelle femme, rien qu'à voir ses doigts, on devine la taille de son sexe.

Je vais vous raconter mon histoire qui est très brève croyez moi mais palpitante.

Je suis Leaticia Koukougon, une femme mariée depuis maintenant 03 ans mais à la mauvaise personne, j'ai fait un mariage d'amour, du vrai et pure amour mais côté sexe, mon mari monsieur Koukougnon Gérald n'arrivait pas à me sastifaire sexuellement. Moi qui était habituée aux gros sexes, avoir juste un sexe de taille moyenne était vraiment un supplice, je m'y accomodais mais je ne ressentais pas de plaisir véritable.

Je me masturbais par moment en l'absence de mon mari, j'avais acheté des godes aux tailles vraiment extraordinaires, sur la toile on les appelait Kong, je me couchais, j'ecartais mes jambes et je me masturbais le clitoris, je me caressais les seins avant d'introduire le gode dans mon vagin pour une sensation explosive. J'avais beau prendre mon pied en me masturbant mais il me fallait de la chaleur humaine, une grosse bite bien chaude et grosse farfouillant dans mon sexe.

L'envie de tromper Gérald me passait souvent par la tête mais je ne voulais pas le faire, il était trop bien pour moi, il était pieux, respectueux, attentionné et disponible et il m'était fidèle alors comment pourrais je tromper un tel homme ? Enfin c'était ce que je me disais jusqu'à ce que je rencontre monsieur bouaké, le responsable du service adjacent au mien.

Moi j'étais attaché des finances et il était responsable du service informatique, nous nous croisions dans les couloirs, l'ascenseur, les bureaux et entre nous il yavait une véritable attraction.

Nos bras se touchaient involontairement, on riait aux mêmes blagues et quand nos regards se croisaient on pouvait sentir toute l'électricité qui s'y dégageait.

Il connaissait mon statut et je connaissais le sien mais on jouait au jeu du chat et de la souris.

Je savais surtout que si je ne faisais pas le premier pas, il ne se déciderait pas mais je savais aussi que même si on était au 21eme siècle prendre les devants surtout pour une femme mariée ce serait paraître comme une femme facile.

J'étais vraiment dans un dilemme, je lui lançais donc de petites piques involontaires en lui disant des fois :

- À te voir on sent que tu aimes le sexe,

- Rien qu'en te voyant marcher on peut sentir la taille de ton banderas

Ou alors

- J'imagine ta femme t'attendant le soir avec cette fraîcheur elle doit être chanceuse....

Je faisais plein de sous-entendu auquel il repondait poliment sans aller dans mon sens.

Alors j'ai décidé ce jour là de le provoquer un peu, je l'ai traité d'homme incapable, infertilite et de poule mouillée.

Je savais ce que je cherchais, on était seuls dans son bureau et il tombait des cordes à l'extérieur donc impossible de sortir, il s'est approché de moi, je pouvais sentir son souffle sur ma poitrine, sur mon visage, je ne rêvais que d'une chose qu'il m'embrasse, qu'il me fasse sienne, qu'il libére cet anaconda qui somnolait dans ce pantalon de haute couture.

Aaah j'ai oublié de vous le dire, ce que j'aimais chez lui en plus de son banderas évidemment, c'est son style, il était du style bcgb, toujours bien chic, bien habillé, en complet veste, souvent en 03 pièces, on ne le prendrait pas pour un informaticien, il était juste parfait, dommage qu'on ne se soit pas rencontrés plutôt.

Il m'a dit lentement à l'oreille :

- Je reçois tes messages mais les femmes mariées ce n'est pas mon style, ce type de péché trop peu pour moi.

Je l'ai saisi par la ceinture et je lui ai dit en lechant le lobe de son oreille :

- Alors c'est que tu rates le meilleur coup de ta vie, car dans ce domaine je suis excellente et j'ai glissé ma langue dans son oreille, je l'ai entendu gémir, je lui ai dit :

- Un seul mot et je suis à toi.

Il n'a pas réagi alors je me suis dirigée vers la porte, décidément cet homme était un véritable mystère pour moi me suis-je dit.

Mais à peine ai je saisi la poignée de la porte qu'il m'a saisi la main, il s'est approché de moi et il a fermé la porte à clé.

Il a ensuite glissé sa main sous ma jupe que je portais et il a atteint lentement ma chatte, il m'a dit :

- Mais tu es toute nue, tu ne portes pas de dessous ?

Je lui ai dit :

Je suis toujours prête,

il m'a dit :

- Retourne toi et deshabille toi, je te veux nu.

J'adorais son ton autoritaire, j'adorais être dominée, je n'ai donc pas hésité à m'executer.

J'ai commencé par retirer ma chemise en coton blanc que je portais, je déboutonnais bouton par bouton en me tremousant légèrement laissant place à ma généreuse poitrine qui ne demandait que ça.

J'ai défait la fermeture éclair de ma jupe, seule étape à mon intimité, pendant que je me deshabillais, je ne cessais de le regarder droit dans les yeux, je pouvais sentir son désir monté, il m'a dit :

- Stop

.

Il s'est approché de moi et il s'est mis à caresser mes seins, à les lécher, pendant que sa main gauche descendait lentement vers ma chatte, je me cambrai pour recevoir cette bouffée de plaisir, il me souleva et il me porta sur la table de son bureau, les documents rejoignirent sans hésitation le sol, il les balaya d'un revers de la main.

Il a fait descendre ma jupe et il s'est ensuite dirigé vers ma chatte qui s'est mise à lecher, je me suis mise à gémir, je lui caressais la tête, les oreilles et lui me lechait de plus belle.

Ses coups de langues imprécis et saccadés, doublés de ses doigts qui ne cessaient de me rendre folle finirent par me faire jouir.

Je lui ai dit :

- Prends moi, je savais à travers son pantalon qu'il était excité,

je lui ai dit :

- Baise moi, fais moi tienne, rends moi femme.

Il m'a regardé droit dans les yeux et il m'a dit :

- Tu n'es pas encore à la hauteur, je déteste ce qui est facile, ce qui est à portée de main, rhabille toi je dois rentrer ma femme m'attend

Et il a déposé un jeu de 5billets de 10mille sur la table comme si je manquais d'argent. J'ai protégé mes seins avec mes mains et je le regardais inerte, stoïque, je ne sais quel mot utilisé, il était juste méchant, il venait de m'humilier, de me blesser dans mon amour propre, je le regardais les larmes aux yeux. Je me suis habillée et je suis sortie, la dignité bafouée mais je n'ai pas touché à l'argent bien que j'en avais besoin en ce moment, il me fallait conserver le peu de dignité qui me restait.

Quand je suis rentrée, Gérald était à la maison vêtu d'un simple slip américain qui ne laissait rien transparaître, je me demandais bien ce que je faisais avec lui, qu'avais je fait pour mériter cela ? Mais il me fallait vaincre ma frustration de toutes les manières possibles alors il en ferait les frais. Il m'a bien dit :

- Bonne arrivée mon amour, j'espère que tu as passé une bonne journée, la mienne était catastrophique.

Moi je me suis contentée de l'embrasser, je voulais sentir quelquechose en moi, rien de plus et lui il repondait à mes baisers. J'ai glissé ma main dans son caleçon laissant apparaître son tout petit penis déjà aux aguets, j'ai retiré ma jupe en 02 temps 03 mouvements et je lui ai dit :

- Baise moi.

Il n'a pas hésité une seule seconde et il s'est introduit en moi, il me chevauchait tout en me caressant les seins et moi j'avais les yeux fermés, profitant du moment pas pour l'effet du plaisir mais je pensais à lui, à monsieur Bouaké, à comment il m'avait léché de ses lèvres expertes et à comment il m'avait introduit les 05 doigts dans ma chatte, rien que d'y penser, je me pinçais les lèvres pour ne pas hurler son nom. J'imaginais son banderas en train de me baiser en cet instant précis, je l'imaginais en train de farfouiller ma flore vaginale, je gemissais de plaisir. Gérald pensait que c'était à cause de lui alors que non, lui ne faisait que me chatouiller, mais monsieur Bouaké lui même sans pénétration avait réussi à me faire jouir.

Le fait même de m'avoir nargué avait décupler mon envie de coucher avec lui, j'ai atteint l'orgasme rien qu'en pensant à ses doigts dans ma chatte.

Gérald m'embrassa fier de lui si seulement il savait.

Je me suis ensuite dirigée vers la douche ensuite dans les bras de Morphée ou je n'ai cessé de penser à lui, au mari d'autrui.

Le lendemain au travail je portais une robe droite avec une ceinture à la taille, avec mes escarpins, toujours sans dessous, je me trouvais belle et sexy alors j'ai fait exprès de defiler son bureau espérant une réaction positive de sa part, des excuses qui se seraient terminées par une bonne partie de jambes en l'air mais non il m'a ignoré tout au long de la journée, je n'en revenais pas moi Leaticia ignorer par un homme du haut de 1m70 avec mes 55kg, moi le corps parfait, je me faisais ainsi narguer par un homme eh ben s'il voulait jouer et ben on va jouer...

J'étais forte dans ce jeu et quand je voulais quelquechose je l'obtenais toujours de gré ou de force.

Ce petit jeu de chat et de la souris promettait d'être vraiment intéressant.

Je me faisais alors de plus en plus sexy, de plus en plus provocante, je ne portais toujours jamais de dessous je trouvais cela trop ennuyeux, je suis du genre direct.

Je faisais exprès de le cogner en passant sans m'excuser, j'ecartais les jambes pour qu'il puisse voir ma chatte bien epilee quand il passait, je lechias souvent les bonbons sucettes comme si je faisais une pipe, je descendais de plus en plus tôt prétextant des sorties avec mon époux mais je l'ignorais par la même occasion, juste un bonjour par ci, par là, rien de plus.

J'étais heureuse de voir son sourire narquois disparaître petit à petit de ses lèvres, lui qui pensait pouvoir me blesser c'était moi qui menait le jeu maintenant. Ce jour là, je portais une longue robe et je venais de finir une réunion avec le daf, je m'appretais à rentrer éreintée lorsqu'il a bloqué la porte de l'ascenseur, il est monté et celui ci s'est refermé sur nous.

On pouvait sentir nos cœurs battre, on pouvait entendre nos respirations, il a glissé sa main toute mouillée sous ma robe et il a atteint ma chatte qui n'attendait que ça.

Il m'a dit :

- Ohlala tu es toute mouillée, j'adore ça.

Au moment où j'avais fermé les yeux pour profiter de ce doux moment, l'ascenseur s'est ouvert laissant entrer d'autres agents.

A contrecœur donc nous nous sommes séparés, j'aurai peut être dû refuser, le repousser mais je ne le pouvais pas, il avait une trop grande emprise sur moi. Enfin au rez de chaussée me suis-je dit mais il m'a suivi et il m'a dit :

J'ai envie de toi c'est plus fort que moi, remontons sans mon bureau, il est vide.

Je lui ai dit :

- Si tu as envie de moi ce sera selon mes conditions, selon mes règles et il n'en sera pas autrement, il a acquiescé.

Je lui ai dit :

- Demain alors, je connais une bonne résidence,

il m'a dit :

- Malheureusement ce samedi j'accompagne ma femme à un mariage mais ce sera une prochaine fois et il m'a embrassé langoureusement avec la langue avant de partir me laissant dans un état second.

Gérald en fit les frais une fois de plus pensant qu'il était à la hauteur, ce n'est vraiment pas aisé quand tu as cru un gros sexe de se contenter d'un sexe moyen même s'il sait habillement s'en servir. J'étais en plein dans ma cuisine en train de faire du poisson à la braise en ce samedi pluvieux lorsque j'ai reçu un appel de monsieur Bouaké me disant qu'il ne pouvait tenir, qu'il avait envie de moi, et que si j'étais partante on devait se retrouver dans une de ses résidences, chose que je n'ai pas réfuté, j'en avais trop envie.

J'ai donc donné les indications à ma fille de ménage et j'ai pris une bonne douche parfumée et direction la résidence en périphérie de la ville,.

Il était là comme convenu, il m'attendait, des qu'il m'a vu il m'a embrassé langoureusement, j'en ai failli m'evanouir.

Il m'a dit :

- Laisse moi t'admirer, tu es tellement belle,

j'ai donc défait le nœud qui retenait ma robe enveloppe et j'ai laissé apparaître mon corps de rêve,

il m'a dit :

- Tu ne portes donc jamais de dessous ?

je lui ai répondu :

- À quoi bon en porter ? Vu que le but est de rester nue ?

Il a éclaté de rire et il m'a dit :

- Danse pour moi stp, tu es tellement magnifique,

il le disait en me faisant tournoyer sur moi.

Je me sentais belle et désirable mais je lui ai dit :

- Cette fois ci on le fera selon mes règles, j'aime être soumise mais la dernière à ton bureau fois m'a servi de leçon.

Il m'a dit :

- Ok madame je vous laisse faire,

j'ai alors pointé mon doigt sur lui et je l'ai dirigé jusqu'au grand canapé que je voyais.

Il s'est laissé tombé sans broncher, je me suis mise à retirer ses vêtements, bof il ne portait pas grande chose juste un boxer et un tee-shirt, j'ai laissé ainsi réveiller l'anaconda qui somnolait, il était déjà vien dressé, est ce qu'il en avait besoin même ? Il était déjà tellement imposant, je le regardais comme une œuvre d'art mais je ne voulais pas lui montrer que je mourrais d'envie de dévorer son banderas. Je me suis donc mise à lui lecher les oreilles, caresser ses tetons, je descendais avec ma langue légèrement jusqu'à atteindre son nombril, je caressais ses testicules, effleurant son banderas sans pour autant en prendre soin.

Il m'a prise par les cheveux et il m'a dit :

- Tu me rends fou, je te désire tellement, baise moi ou laisse moi entrer en toi je ne tiens plus.

Je me suis dégagée de son emprise que je trouvais trop chou et je lui ai dit :

- On le fait selon mes règles.

J'ai donc finalement entrepris de prendre possession de son banderas, bon Dieu il était aussi gros que j'en avais rêvé, la technique de gorge profonde que j'avais appris s'appliquait là maintenant. J'engloutis tout entier son banderas, je lui rendais un vrai culte tout en malaxant avec dextérité ses testicules tel un récital de mes différentes formules de math, il ne faisait que gémir en me disant :

- Oh leti, oh ma leti, tu vas me rendre fou,

je faisais passer ma langue sur son gland, je le suçais avant d'avaler encore son banderas, je sentais les spasmes parcourir son corps, je m'appliquais de plus belle, je sentais son sperme monter, aucun penis ne me resiste, quand je sentis son sperme monter je relachai légèrement et je descendis sur la raie de ses fesses que je lechai, jusqu'à atteindre son anus qu'il n'echappa pas à mon doigté magique et à mes coups de langues aiguës.

Pendant ce temps ma main continua à le masturber à un rthymme effréné à tel point qu'il ne tarda pas à jouir.

Il était un peu géné, il m'a dit :

- Asafroulaye, jamais aucune femme ne m'avait fait jouir rien qu'en me faisant la pipe, toi tu es spéciale et j'adore tout ce qui est unique,

Il m'a soulevé et il m'a porté jusqu'à la seule chambre de cette résidence.

Je lui ai dit :

- Tu es capable de te relever après cette petite séance de masturbation ?

Il m'a dit :

- Je suis un phoenix sache le, je renais toujours de mes cendres.

- Je n'attends que ça dis-je,

Il s'est donc attelé à me caresser les seins, à les lécher, je frémissais de bonheur.

Il est descendu lentement jusqu'à ma chatte, qu'il s'est mis à lécher lentement et silencieusement, ses coups de langue me rendaient folles.

Je n'avais qu'une hâte c'était qu'il me pénétre enfin, qu'il me fasse sienne, il est remonté et il m'a embrassé langoureusement avant d'introduire un doigt dans ma chatte, puis 2, constatant ma chatte,

il m'a dit :

- Tu es toute mouillée dit-il et j'adore ça,

Il m'a ensuite introduit un troisième doigt, puis un quatrième, il me regardait me trémousser de plaisir, il m'a dit :

- J'adore te voir comme ça,

Et je lui ai répondu :

- Baise moi bb je t'en supplie.

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