Home/ Pour lui dire que je t'aime Ongoing
Ariana Moore a dû épouser un homme muet et infirme pour des avantages commerciaux. Mais lors de leur première rencontre, l'homme muet lui a dit... Quels secrets avait cet homme mystérieux ?
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Deux chaleureux bras enlacèrent son cou.

Sans barguigner, elle étreignit à son tour, et embrassa avec tendresse ses lèvres !

À l'aide de sa subtile langue, elle tenta de lui ouvrir les lèvres. Un souffle d'air frais surabondait la bouche de l'homme, sentant ainsi la fragilité et la douceur d'une jeune fille.

L'homme sans prendre de recul, se mit à sucer sa bouche, faisant usage de sa langue, pour caresser chaque compartiment de celle-ci.

Il se servit de ses confortables bras, se serrant fortement contre elle, et la blottir dans ses bras.

Il caressa ce corps fin de la taille jusqu'à échouer sur sa poitrine.

Un baiser sauvage et passionné s'empara d'eux jusqu'à ce qu'ils en perdent la raison.

Après ce long et agréable baiser, il ouvrit précipitamment les yeux.

En fixant la lumière, il revit son image.

Il se souvenait de ses lèvres rouges et gonflées après qu'il l'ait embrassée, et du corps aux formes féeriques qu'il avait tripoté.

Six mois plus tard...

"Quatrième Jeune Maître, c'est sûr ! La petite fille qui te sauva la vie, il y a six mois à Alpharetta, s'avère être la fille unique de la famille Moore."

Gabriel prit place sur le siège du copilote, passant la pile de dossiers et de photos à l'homme assis sur le siège arrière.

Gabriel ignora avoir interrompu l'homme dans ses précieux souvenirs. "Il y a deux ans, la famille Moore a déménagé à Atlanta, alors que leur ville natale est Alpharetta. Mais Mademoiselle Moore revint dans sa ville natale, vers la fin de l'année, pour rendre visite à des parents, et te rencontra", continua Gabriel Anderson.

L'homme, assis sur le siège arrière, ne réagit point.

Une paire de pupilles contemplait le portrait de la fille, sur la vue, et examinait minutieusement chaque photo.

L'ambiance était lourde, faisant dégouliner de sueur, le front de Gabriel. Malheureux, il fixa son frère aîné Fréderic, assis sur le siège du conducteur. On croirait qu'il avait besoin de l'aide.

À travers le rétroviseur, Frederic dévisagea l'homme assit sur le siège arrière et dit : "Quatrième Jeune Maître, récemment, le Premier Jeune Maître et le Second Jeune Maître, t'avaient tendu un piège, auquel vous tu as échoué. Pendant ce temps, Mademoiselle Moore t'a fortuitement rencontré et t'a tiré d'affaires. C'était une situation d'urgence, et elle n'a pu s'empêcher de te donner la respiration artificielle. Elle n'avait aucunement l'intention de profiter de toi dans cette circonstance. De plus, il n'était pas aisé à une petite fille d'émerger un homme fort comme toi. Tu ne peux pas laisser tomber ?"

Que c'est un secret de polichinelle, qu'il y avait quatre charmants fils dans la famille Lewis. Celle-ci fut la plus riche de la partie orientale du fleuve Mississippi. Cependant, le benjamin de ladite famille avait un mauvais caractère. Malgré son attachement à la propreté, il était hostile à l'eau et à la communication avec des inconnus.

Depuis leur enfance, Frédéric et Gabriel fréquentèrent le Quatrième Jeune Maître. Ils savaient pertinemment que la dernière fois où cette petite fille lui donna la respiration artificielle, fut l'occasion par laquelle il reçut son premier baiser.

Frédéric et Gabriel analysèrent l'objectif que poursuivit le Quatrième Jeune Maître, qui insista, ces six derniers mois, que la petite fille soit retrouvée. Ils conclurent qu'il voulut infliger une sanction à celle-ci !

"Quatrième Jeune Maître, Il est évident que la famille Moore soit dans la ville depuis un moment, mais nous ne parvenons pas à retracer la situation géographique Mademoiselle Moore. Aussi, est-elle l'unique enfant de la famille Moore. Si vous tenez à la punir, peut-être... "

Soudain, Gabriel se retint et abandonna la suite de son idée.

L'homme sur le siège arrière leva aussitôt la tête, et regarda froidement Gabriel. "Qui affirma que je voulus la punir ?" Demanda-t-il.

Frederic fut troublé, et ses mains tremblotantes ne purent fermement tenir le volant.

Quand est-ce que le Quatrième Jeune Maître a parlé pour la dernière fois ?

Il y a plus d'un siècle ! On ne put s'en souvenir.

Face à la surprise de ses subordonnés, Maxwell ferma légèrement ses paupières. Ses pupilles brillantes reflétaient un signal dangereux, mais en retour, Gabriel n'a pas eu froid aux yeux, et demanda : "Alors pourquoi la poursuivez-vous ?"

Maxwell sourit légèrement, rangea les photos dans ses mains, et détourna son regard.

Une pluie battante tomba à verse. Même en cet après-midi d'été, le ciel fut morne et brumeux. En regardant à travers la vitre sombre de la voiture, la visibilité fut réduite.

"Je ne sais pas", répondit Maxwell.

Maxwell prononça trois autres mots,

puis les frères Anderson sont à nouveau choqués.

Frederic vira brusquement et freina précipitamment.

Sous l'effet de l'inertie, le corps des trois personnes dans la voiture s'est précipité en avant. Heureusement qu'ils avaient attaché leur ceinture de sécurité. Cependant, le front de Maxwell s'est écrasé sur le cuir du siège du conducteur, mais il n'y eut la moindre égratignure.

"Quatrième Jeune Maître !" cria Grabriel.

Celui-ci, après avoir détaché sa ceinture de sécurité, descendit de la voiture pour prendre connaissance de ce qui n'allait pas : "Comment conduis-tu une voiture ? Pourquoi ne ralentis-tu pas quand il pleut abondamment ?"

Fréderic eut également peur et dit : "Quelqu'un s'est précipité !"

"C'est un boulevard où il est recommandé de rouler à vive allure. Qui peut y monter ?"

"J'ai sincèrement vu quelqu'un. Pourquoi devrais-je vous mentir ? J'ai failli le culbuter !" répliqua Frédéric.

"Quatrième Jeune Maître, vas-tu bien ?"

Les deux frères essayaient de nettoyer les dégâts. Une silhouette blanche se glissa rapidement dans la voiture, à l'insu de Gabriel.

Elle était rapide et agile. On dirait qu'elle s'était entraînée des milliers de fois avant de passer à exécution.

Le long de son corps suinta d'eau, et mouilla le siège de la voiture, ainsi que les tapis. Elle rampa jusqu'au côté de Maxwell Lewis, puis se mit en colère. "Conduis vite ! Dépêche-toi !" dit-elle.

Fréderic jeta un coup d'œil dans le rétroviseur...

Il y avait une silhouette froide et frissonnante sur le siège arrière. Elle se vêtit d'une longue robe blanche. Ses vêtements et ses longs cheveux blonds, trempés par la pluie, épousèrent son corps. Elle a une belle et séduisante configuration corporelle. De ses cheveux, l'eau dégoulinait sur son visage qui palissait. On ne pouvait clairement déceler son air.

Cependant, sa forme physique, son grand nez et son beau menton dévoilaient indubitablement, qu'elle était une petite magnificence.

Elle serrait fermement contre ses seins, la sacoche qu'elle tenait en main, de manière nerveuse et vive.

Qu'on se fie à sa qualité vocale, ou à sa frêle peau, il est incontestable qu'elle c'était une petite fille qui n'excédait dix-huit ans d'âge. De plus, elle avait l'air pitoyable.

C'était une averse.

Un tel périphérique à grande vitesse.

Au point d'arrêter la voiture.

Quelle fille étrange !

Les lèvres de Gabriel tressaillirent. Il ouvrit la porte de la banquette arrière, non pas pour faciliter la vie des autres, mais pour vérifier si le Quatrième Jeune Maître était blessé.

De plus, la voiture du Quatrième Jeune Maître ne transporterait pas d'autres personnes.

Avant que le Quatrième Jeune Maître ne se mette en boule, Gabriel fronça les sourcils et saisit la petite fille par son col, s'apprêtant à la projeter hors de la voiture !

Voici celle qui s'était précipitée pour provoquer l'accident de route !

"Ne faites pas ça ! Monsieur, il y a un agresseur qui me poursuit. S'il vous plaît, déposez-moi en dehors de la ville !" supplia la petite fille.

Sur-le-champ, elle exhiba des billets de plusieurs centaines de dollars de son sac à dos et les tendit à Gabriel en disant : "Les frais de transport de la ville vers la banlieue, depuis le périphérique coûte un peu plus de cent dollars. Je vous en donne mille. Qu'en dites-vous ?"

Gabriel était stupéfait, premièrement, en raison de son comportement déplorable, et ensuite de son visage. Pourquoi avait-elle un air de plus en plus familier ?

Gabriel ouvrit la bouche et regarda Maxwell et dit : "Quatrième Jeune Maître, elle, elle est Moore..."

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