Dans la salle privée d'un club.

"N'es-tu pas une prostituée ? N'importe qui pourrait te monter dessus avec de l'argent, non ?" L'homme écrasa férocement la cigarette dans sa main, attrapa une liasse d'argent sur la table puis le jeta sur la femme, "Cette nuit, tu es à moi."

Jaycee ne s'attendait pas à rencontrer Auster Mu au club, lui qui avait disparu de sa vie depuis deux ans.

C'était encore plus inattendu qu'il lui demande à ce qu'elle le serve dans son lit à elle. Lorsque les billets verts lui retombèrent dessus, Jaycee retrouva son calme. Elle évita le regard furieux et malveillant de l'homme et lui répondit avec un sourire coquet: "Je suis désolée M. Mu. Le club stipule que je ne peux pas divertir les invités de cette façon."

Elle était la Madame du club et n'avait donc pas à se prostituer. À peine s'était-elle tue qu'elle senti quelqu'un attraper son poignet. L'homme la jeta dans la salle de bain et ferma la porte.

"Auster Mu ! Espèce de salaud ! Laisse-moi partir ! Je ne suis pas une call-girl !" dit Jaycee apeurée tout en en se débattant.

Il y avait tellement de gens qui chantaient et buvaient dans la salle privée. Allait-il la baiser dans cette salle de bain ?

"N'agis pas comme si tu étais si chaste et sans reproche !" Auster la pressa rudement sur les toilettes et retira sauvagement sa jupe en serrant la mâchoire, "Montre-moi que tu es une professionnelle Tant que tu me rendras heureux, je te paierai plus !"

Ayant finit, l'homme la pénétra férocement ! "Ah", cria Jaycee en se mordant la lèvre inférieure.

Auster la traitait de façon si cruelle, il voulait clairement la punir.

C'était sa vengeance pour sa "tromperie" d'il y a des années !

Bien sûr, tous les hommes voudraient se venger à être fait cocu, et encore plus à une personne aussi privilégiée qu'Auster. Avec cette idée en tête, Jaycee commença à le satisfaire activement et fougueusement, "Maintenant que M. Mu ne me regarde plus de haut, je vais le divertir comme il le souhaites !"

"Tu es vraiment une salope de bas étage !" Auster gronda avec dédain, tout en la pénétrant plus rudement !

"Monsieur Mu visite rarement notre club, et je vais donc bien sûr lui montrer tous nos talents", sourit Jaycee avec des yeux devenus amers.

"Tu es si sale et bon marché!" Auster attrapa ses longs cheveux et posa ses mains sur chaque partie de son corps de manière violente et rude, "Crie !" rugit-il.

Comme il le souhaitait, Jaycee gémit "ah, ah, ah". Mais son comportement désinvolte le rendit encore plus furieux et il la tortura de plus fort. Après un long moment, il la laissa satisfaite.

Malgré la douleur, Jaycee s'empressa de se habiller, se retourna et lui tendu la main : "Je suis une Madame, mon prix est très élevé. Maintenant que M. Mu a enfreint les règles, je dois vous faire payer plus cher."

Les mains de l'homme sur son ceinturon se figèrent. Il fixa la femme qui arborait un regard blasé comme s'il allait la frapper! "Jaycee, je sous-estime ta méchanceté !" Auster sortit un billet préparé et le lui jeta au visage.

Bien que le visage de Jaycee soit rouge écarlate, elle prit un air insouciant. Elle s'accroupit, ramassa les billets un par un et les agita devant l'homme : "Je mérite ce que j'ai gagné, alors je ne peux pas laisser passer ça ! Merci beaucoup, Monsieur Mu !"

Après avoir dit cela, elle embrassa frivolement l'argent, fit un clin d'œil à l'homme, puis se retourna et quitta la salle de bain.

Auster était furieux !

Cette femme de la nuit l’avait choque et impressionné !

Il avait l'impression d'avoir été tellement aveugle cette année ou était tombé amoureux de cette salope sans vergogne !

Lorsque Jaycee sortit du salon privé, elle souriait de manière charmante tout le long du chemin. Cependant, après être entrée dans le salon, elle s'allongea brusquement sur la table, en sanglotant d'une voix faible. Ses larmes étaient comme une fontaine qui jaillissait directement du fond de son cœur, et qu' elle ne pouvait pas contrôler.

"Jaycee, tu vas bien ?" L'une de ses amies proches entra et lui tapota l'épaule avec inquiétude.

Jaycee essuya rapidement ses larmes avec ses manches, s'assit et croisa ses jambes, et gronda : "Merde ! Cet animal ! Tu n'as pas vu la violence et les vices qu'il a fait sur mon corps ! Son argent est dur à gagner, put*n !"

" Jaycee, laisse-moi t'aider !" dit-elle en s'accroupissant, prête à lui masser les jambes.

Jaycee lui serra la main et lui fit un sourire éclatant : "Je vais bien ! Ce n'est pas grave ! Les autres invités attendent. Allons-y !"

Tout était ok!

Comparée à la blessure sourde et profonde de son cœur, la douleur physique n'était vraiment rien !