Home/ Mon doux second mariage Ongoing
Étant allergique aux femmes mais obsédé par moi, l'homme d'affaires le plus prospère m'a faite plonger dans ses cajoleries.
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« Felix, je n’en peux plus… ah… »

« Petit, tu me dis que tu n’en peux plus maintenant, hein ? » dit Felix.

Et ils recommencèrent un nouveau tour. Eudora George réprima l’envie de vomir et éteignit la caméra de surveillance. Felix rentra encore saoul ce soir-là, dans cet état il ne pouvait satisfaire au besoin d'Eudora malgré ses tentatives qui n’aboutirent à rien depuis des années.

C’était son mari, Felix Meyer. Leur mariage datait de trois ans, mais il ne la toucha jamais au cours de ces années passées ensemble. Eudora pouvait affirmer que son époux ne connaissait pas son intimité. Il préférait s’adonner à l’alcool et aux femmes à l’extérieur. Il ne faisait pas l’exception de ces hommes riches qui aimaient bien s’adonner à l’alcool et jouer aux jeux dangereux avec les femmes de nuit. Seulement, son épouse vit-elle toujours dans une situation malheureuse ? Plus le temps passait, plus elle le voyait s’éloigner. Eudora était plongée dans ses pensées, voilà qu’un bruit la fit sursauter.

On frappa à la porte. Peu de temps pour deviner la personne, sa belle-mère, Laura Westin, cria déjà de l’extérieur : « Pourquoi te caches-tu encore dans la chambre ? Tu te rebelles parce que Felix n’est pas à la maison ? Vous êtes mariés depuis trois ans et tu ne peux même pas lui donner un enfant. Pourquoi es-tu si déraisonnable ? Pourquoi n’es-tu pas sortie pour cuisiner ? Tu veux me faire mourir de faim ? » Voilà donc le calvaire que vivait Eudora dans sa maison, quand ce n’était pas Felix qui la stressait, c’est sa mère qui s’en chargeait.

« Il faut même deux mains pour applaudir. Donner naissance à un enfant n’est pas quelque chose que je peux faire sans mon mari. Je suis censée me reproduire toute seule ? » pensa Eudora avec insatisfaction.

Eudora réprima son sentiment de colère, ouvrit la porte et se dirigea vers la cuisine pour satisfaire malgré tout, les envies de sa belle-mère.

Depuis qu’elle fit partie de la famille Meyer, sa vie n’était qu’un enfer. Elle n’a jamais connu le bonheur et l’affection, ni la sécurité que toutes les femmes auprès de leur belle famille en bénéficient. Pourtant en se mariant avec Felix, elle décida de renoncer à son indépendance et à l’opportunité de construire sa carrière. Elle renonça à tout ce qu’elle avait. Elle pensa que tant qu’elle fit des efforts, elle gagnerait le cœur de Felix. Mais, grande était sa déception, car ses efforts furent vains, la seule chose qu’elle gagna ne fut que la haine croissante de Felix et de sa famille.

Qui se soucierait donc de la tristesse de son cœur ? Elle était seule face à son sort qui ne lui présageait aucun lendemain meilleur. Eudora se plongea profondément dans ses pensées et s’oublia carrément lorsqu’une voix tonna à ses oreilles.

« Ah ! Eudora, es-tu folle ? Je t’ai demandé de cuisiner ! Au lieu de cela, tu mélanges ton sang avec les plats ! Essaies-tu de me dégoûter à mort ? »

Ses pensées étaient si profondes, que ce n’est qu’en entendant les reproches de Laura qu’elle se rendit compte qu’elle venait de se couper le doigt. Elle ne ressentit aucune douleur.

Elle regarda le sang rouge vif qui coulait de son doigt, puis le regard dégoûté de sa belle-mère. Elle hurla soudainement de désespoir et sa belle-mère resta indifférente. Elle se sentit tellement lésée.

Il était tard dans la nuit.

Eudora marchait le long de la rue étroite et déserte, avec une expression engourdie sur son visage. Mais, il y avait un sentiment de soulagement dans son cœur, car elle ne se sentait en paix que lorsqu’elle se retrouvait hors de chez elle.

Sans le savoir, elle s’égara dans les ghettos de Rosaville City. Il y avait des ordures et des constructions en train d'accomplir partout.

La zone était remplie de sans-abri, de mendiants et d’ivrognes. La famille Meyer ne l’aimait pas, mais elle refusait de lui accorder le divorce. C’était trop facile de lui demander cela après tous les sacrifices qu’elle avait consentis. Comme ils furent si méchants, c’est l’heure de la vengeance, se dit-elle avec force et colère.

Elle avait prévu de perdre sa virginité avec la personne la plus sale et la plus laide qu’elle pouvait trouver dans les rues. Son désespoir l’amena à prendre cette décision qui ne pouvait pas être comprise de tous.

« Hmmm... »

Pendant qu’elle entendit des gémissements provenant du coin sombre, Eudora prit son courage et se rapprocha davantage.

Sous le faible éclairage de la rue, un homme était étendu là. Ses vêtements étaient couverts de sang, son visage ruiné par des coupures et des contusions. Eudora prit son courage pour être proche de cet homme qui était là, abandonné à lui-même.

Les bagarres étaient très fréquentes dans ce quartier pauvre. « Ça doit être un délinquant », pensa-t-elle.

Elle serra les dents et tendit le bras pour déboutonner la chemise de l’homme. Elle pouvait sentir son cœur battre violemment alors qu’elle déboutonnait le premier et le deuxième bouton. Il réagissait ; cela prouvait qu’il était encore en vie.

La poitrine de l’homme était presque exposée et elle pouvait le sentir trembler à chacun de ses contacts.

Quand elle atteignit le dernier bouton, elle entendit soudainement une voix faible. « Que faites-vous ? » lui demanda le monsieur.

Eudora frissonna. L’homme ouvrit les yeux et la fixa, son regard aussi aiguisé que celui d’un aigle. À ce moment précis, Eudora voulut s’échapper, pour repartir chez elle. Mais quand elle pensa à la façon dévalorisante avec laquelle les membres de la famille Meyer l’avaient maltraitée pendant tout ce temps, elle se retint.

« Qu’est-ce que tu en penses ? » Ses mains douces déboutonnèrent simplement le dernier bouton et elle atteignit lentement la poitrine de l’inconnu, frottant sa peau à vif.

L’intimité soudaine fit le corps de l’homme se tendre et elle pouvait sentir la chaleur qui se dégageait de lui. Eudora supprima la dernière barrière entre eux deux et pressa tout son corps contre l’homme, elle fit les efforts pour se retenir, mais se laissa aller finalement.

C’était comme si l’homme était envoûté par le parfum unique et la douceur de la femme qui le touchait. Il se retrouvait incapable de résister au toucher doux, mais peu habile de la femme allongée au-dessus de lui. Il n’en pouvait plus et l’attrapa. Il lui murmura passionnément : « Meuf, tu l’as cherchée. »

Au moment où il la pénétra finalement, une larme coula du coin de l’œil d’Eudora. L’homme s’arrêta soudainement. Il se demanda pourquoi cet état de tristesse subite et ce qui lui arrivait.

Avec délicatesse, il embrassa doucement les larmes du visage humide de la femme et lui tint patiemment la main tandis qu’il l’amenait lentement à l’orgasme.

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