Le taxi arriva à l'entrée du domaine. <<Whaouh! S'exclama Anae. C'est encore plus beau que dans mes souvenirs !>> En effet Margaret Albéniz avait était une femme très élégante et axée sur les décorations et les évènements les plus prestigieux de la ville. Son mari Alarick un homme dans la cinquantaine, était propriétaire d'une colossale fortune familiale qui datait de plusieurs générations et administrait aussi le conglomérat des entreprises Albéniz. Anae se rappelait qu'ils étaient cependant les parents les plus affectueux qu'elle avaient jamais. Anae parfois ressentait une pointe de jalousie. Dans cet immense domaine, Emma et et David paraissaient être des colombes voltigeant dans dans un palais royal. L'appartement de son père au contraire était-ce si minuscule... Rien à voir.

Emma et Alarick avaient toujours été corrects avec Anae, très affectueux et ont ne faisait casimment la différence des foi avec leurs enfants. Anae et Emma adoraient alors titier David qui était plus grands mais beaucoup trop grincheux pour jouer elles. Aujourd'hui Anae avait 18 ans, Emma devait en avoir 20 et David 23. Malgré son jeune âge, Anae avait appris qu'il était déjà l'un des plus talentueux directeur général et associé de l'entreprise familiale. Il lui fallait encore quelques années d'expérience pour faire ses preuves et démontrer ses aptitudes à gérer tout le conglomérat. Il avait déjà fait ses preuves en tant que assistant, manager d'une petite équipe puis d'une plus grande et aujourd'hui il était directeur général d'une des entreprises du conglomérat. Il avait aussi une fiancée... Anae sourit à la pensée de celle qui pouvait supporter quelqu'un d'aussi pleurnichard et rabat-joie.

Toujours dans ses pensées lorsqu'un cris la fit sursauter...

- Anne Anne m'a chérie c'est bien toi? Oh mon Dieu ! Viens là mon petit ange que je t'embrasse.

S'adressant à l'un des employés

Aguzto je vous prie de prendre les affaires de ma fille et les mettre dans ses appartements.

Ses appartements!.... Comment ça ses appartements!?

- Ma fille chérie je suis si heureuse de te revoir cela fait si longtemps !

-Moi aussi mama tu m'as vraiment beaucoup manqué.

Pendant qu'elles parlaient, elles se dirigeaient en même temps dans les appartements extérieurs

- Dis-moi maman, tu n'es plus logée dans la maison ou alors ?

- Bien-sûr que si sinon comment ferai-je pour être la meilleure gouvernante de tous les temps? Dit-elle avec le meilleur de ses rires. C'est juste que Madame Margaret a estimé que en tant que jeune femme qui va à l'université, tu aurais sans doute besoin d'un confort plus vastes. Elle t'a donc céder et aménagé l'appartement de la maison dont le balcon regarde vers les jardins.

- Incroyable ! Et pourquoi tant de bonté ?

- Oh tu sais très bien que Margaret t'a toujours considéré comme sa fille.

- Oui maman mais ça fait si longtemps comment... Comment est-ce possible ?

- Il faut juste être sage et aimable car elle a de grands projets pour toi.

- C'est vraiment très aimable. Je devrais aller lui ma reconnaissance.

- Oui mais d'abord changes-toi.

Pendant qu'elles s'avançaient, une jeune dame très belle, blonde platine et à cheval arrivait vers elle avec une prestance telle qu'on ne voit que dans les tableaux des célèbres peintres.

- Ah vous voilà enfin Marion! S'adressant à la mère d'Anae. J'aimerais que vous changiez la littrerie la cette couleur jaune ne me va pas du tout au teint et en plus elle me fait déprimé. Je vous serais donc gré de laisser ce que vous faites pour un moment et vous vous y penchiez le plus tôt possible je vous prie.

- Bien-sûr mademoiselle Emma comme vous voulez. Avez-vous reconnue Anae ma fille ?

- Anae? Anae... Je ne m'en souviens pas vraiment !

- Bonjour Emma ça fait bien de temps qu'on ne s'est pas vu.

- Salut. J'ose espérer que sa visite ne vous empêchera pas de faire votre travail. S'adressant à Marion puis parti en marquant la prestance sur son cheval.

Eh bien ! la petite Emma avait bien changé. Aussi loin que se souvint Anae, était chaleureuse et surtout pas du tout distante ni capricieuse envers les employés.

- Mademoiselle Emma a toujours été un peu capricieuse. Dit Marion.

- D'accord...

Au même instant dans la cour arrière vint à cheval à une vitesse considérable un homme grand... Un bel homme il les salua en passant e hochant son chapeau. Mais son regard vert intense croisa celui d'Anae lui transpersant presque la poitrine tel un corbeau dérobant sa proie. Elle retrouva le souffle mais resta ébahie un instant.

- C'est le jeune David... Il est vrai devenu un beau jeune homme n'est-ce pas... La réveilla sa mère avec un sourire. C'est la fierté de son père. Dommage qu'il se soit casé avec Marie. La meilleure amie d'Emma... Cette jeune fille est jolie mais je ne pense pas qu'elle rende heureux le jeune David. De toutes les façons ce sont leurs affaires. Mais ça me fait de la petite pour ce petit. Il n'a jamais sourit de sa vie. Même aux anniversaires pourtant il est si gentil.

Cette Marie s'y es accrochée comme u e sangsue voyant en lui un avenir prometteur. Allons défaire des bagages. Tu verras c'est un appartement exceptionnel. Je l'ai moi-même rangé. Je fais quelques minutes puis j'irai donner des instructions pour la chambre d'Emma.

Vers la sixième heures du soir, Anae c'était déjà installé dans l'appartement qui avait vu vers la cour arrière du domaine. Cette vu était époustouflante : de la verdure et des jardins paradisiaques à perte de vue. Les angles des pièces engazonnées et fleuries, qui constituaient aussi les départs des lignes fuyantes, les arbres et arbustes de jardin taillés dans un but décoratif qui donnaient une véritable identité à l’ensemble. D'autres part, les terrasses et le dallage en pierres, galets briques en prenaient soin de reproduire des motifs réguliers et harmonieux dans le style renaissance italienne. L’ornementation se constituait principalement de grands pots de terre cuite et de pierre d'Italie, les vases Médicis et les vases d’Anduze.

L'appartement en lui-même était étonnement luxueux et très moderne.Tout d'abord l'entrée, le patio était décorer de façon orientale, avec des étangs de carpes accompagnés d’une grande flore. Et une fois la porte d’entrée franchie, un grand escalier qui mène à un deuxième étage, et des planchers ouverts, aérés et spacieux. En fait, les plantes ouvertes sont le critère numéro un de préférence, selon une étude.

La cuisine semblait être le deuxième cœur de la maison. Une vie opulente nécessite une magnifique cuisine. Elle contenait une atmosphère chaleureuse, des refroidisseurs de vin, des appareils de qualité semblables à un restaurant, et un grand rangement dans un grand garde-manger.

Le salon et la salle à manger étaient reliées par de grandes fenêtres au jardin donc les vues impressionnantes laissaient pénétrer la lumière naturelle pour ce qui améliorait l'amplitude des deux pièces. Il y'avait une Cheminée, une grande table centrale, et différents environnements dans la même pièce. Tout était magnifique, cependant Anae ne ne s'y atarda pas trop en admiration. Elle se dirigea vers la porte de la cuisine qui menait vers un jardin à l'arrière de l'appartement.

Le jardin arrière était privé de l'appart, on pouvait apercevoir une variété idyllique de plantes qui formait un couloir et conduisait à un autre jardin privé donc la décoration était à couper le souffle ainsi qu'une magnifique piscine. C'était une de ces piscines à débordement avec des cascades dans le style bon chic bon genre. Anae était juste stupéfaite en voyant tout cela. Elle ne se souvenait pas de tout ce décor qui semblait être un labyrinthe sans fin de merveilles. Chaque espèce paraissait conduire dans un monde féerique ou elle devait ne plus en sortir. Elle eu même un peu peur d'avancer, mais la curiosité et et l'enchaînement la poussait à continuer sa visite bien qu'ayant déjà traverser l'espace privé qui lui était réservé.

Profitant de la sa promenade dans le jardin, elle n'avait pas remarqué que quelqu'un s'était déjà immobiliser et l'observait en silence.