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"Que peut faire une femme désespérée ?", "Eh bien, me trouver un amant secret, goûter à mon beau-frère."
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Quelque part dans la cité médiévale de Rome et pendant que la lune projetait une lueur mystique dans une nuit d'encre, un luxueux navire de croisière blanc traversait de manière silencieuse les torrents calmes de l'océan. La festivité sur le bateau était à son comble, emplie de chants et de danses. Tout le monde à bord était enjoué, tirant profit de l'ambiance vive et conviviale.

Pendant ce temps, dans une somptueuse chambre du navire, la silhouette projetée sur la porte vitrée était floue en raison de la vapeur de la douche chaude, la rendant mystérieusement attrayante. Le bruit de l'eau qui gouttait sur le sol contrastait de manière impressionnante avec le silence de la nuit. À l'intérieur de la pièce, l'ambiance était chaleureuse et séduisante.

De l'autre côté de la porte vitrée, un homme attendait avec impatience. Il s'appuya contre la tête du lit avec une cigarette à moitié consumée entre ses doigts minces. Savourant sa cigarette, il se sentait revigoré, sachant que fumer était vue comme un symbole de virilité. Tapotant doucement les cendres de sa cigarette, il prit une profonde inspiration et expira une belle série d'anneaux de fumée. Il considérait les fumées ludiques comme une œuvre d'art. La peau dorée de l'homme dégageait un éclat sain sous la lumière sans la moindre trace de graisse superflue. Chaque aspect de son physique était tout simplement parfait.

Il rétrécit légèrement les yeux. Ces yeux qui étaient si perçants – comme ceux d'un aigle, dégageaient un étrange sens de lourdeur sinistre. Son visage bien sculpté était irrésistible avec ses lèvres fines, charmantes et rosées, légèrement inclinées en une raillerie discrète. Ses yeux, embrasés de feu et de désir, fixaient son visage à travers la porte vitrée. Il scrutait minutieusement chaque centimètre de plis et de courbes de la femme se trouvant dans la salle de bain.

La porte s'ouvrit lentement. Hélas ! Le peignoir en soie blanche enfilé par la femme mettait en valeur son corps séduisant. Elle séchait ses longs cheveux noirs avec une serviette. Arrangeant son peignoir, elle se tourna vers lui et lui offrit un sourire séducteur.

Il fut submergé par une poussée brusque d'hormones en la voyant. Elle avait l'air sexy pendant qu'elle se frottait encore les cheveux. Sous ses cheveux se trouvait son beau visage, taillé à la perfection. C'était la définition de la beauté époustouflante. Cette trace de rougeur rosée sur ses joues était un délice pour les yeux. Il se demandait s'il n'y avait peut-être pas quelque chose sur sa peau qui la rendait rouge après chaque bain, car il ne put s'empêcher de la regarder. Pour lui, elle était semblable à une délicate fleur en pleine floraison.

"Réveillée de ton état d'ébriété maintenant ?" demanda l'homme, en continuant de tapoter sa cigarette, ce qui le faisait se sentir comme un vrai macho. "Oui", répondit-elle en levant légèrement les sourcils.

Brusquement, l'homme robuste et charmant couché sur le lit s'approcha d'elle. Ses mains étaient largement étendues pour l'accueillir. Ses doigts parcoururent son dos pendant qu'il la caressait. Avec ses lèvres contre son oreille, il murmura : "tu sens bon." La sensualité dissimulée dans sa voix grave la rendait très sensible qu'elle retira sa tête. Il l'avait fait exprès.

Taquinée par l'homme espiègle, la dame devint rouge avec une grande introversion. Sa tête était encore un peu lourde à cause d'une pointe de vin. Si elle n'avait pas perdu conscience cette nuit-là, elle n'aurait pas eu l'occasion de s'amuser avec cet homme.

Elle se rappela que c'était déjà la deuxième moitié de la nuit. Avant cela, elle était tellement avinée qu'elle ne se souvenait plus de la manière dont elle était arrivée là. Les moments de folie avec l'homme, suivis d'un bain chaud, l'avaient quasiment dégrisée ou du moins avaient rafraîchi sa mémoire.

"S'il te plaît, laisse-moi m'en aller. Je dois partir", dit la demoiselle en suppliant l'homme.

Tout était clair dans son esprit et elle reprenait toute sa conscience. Sous le peignoir, elle ressentit une vive douleur dans son corps et un chaos total dans son esprit. La nuit de sa remise de diplôme, elle eut du mal à croire ce qui lui était arrivé sur cette terre étrangère avec un inconnu.

"Je m'appelle Noah Vidal", se présenta l'homme au lieu de répondre à sa petite demande.

Le ton froid de la dame ne réussit pas à éloigner l'homme, mais le rapprocha seulement. La voix grave et profonde de l'homme était si envoûtante, et le sourire sur son charmant visage était diaboliquement tentant et charismatique.

"Écoute, Monsieur, tu n'es pas obligé de me dire ton nom. Nous ne faisons que satisfaire nos besoins personnels. Après ce soir, il n'y aura rien entre nous. Pas d'attaches."

La jeune fille avait l'air agacé par son geste de se présenter, qui selon lui indiquait son intérêt pour le développement futur de leur relation d'une nuit. La dame se retourna. Puis, ses cheveux mouillés et élégants laissèrent une sensation fraîche et douce sur sa peau.

"Tu as été formidable cette nuit. Y aura-t-il une prochaine fois ?"

L'homme nommé Noah haussa légèrement les sourcils. Le sourire sur son visage était tellement éblouissant que la femme, qui tentait tant bien que mal de garder une distance de sécurité avec lui, en était également quelque peu fascinée.

"Je suis désolée. Maintenant, je dois m'en aller." La demoiselle finit par rassembler toute sa force et décida de partir.

Sans hésiter, la femme enleva son peignoir sous le regard de l'homme et enfila en vitesse les vêtements qui étaient éparpillés sur le sol. Une fois habillée, elle prit son sac à main en panique. Ses mains fines tremblotèrent et le sac à main tomba. Tout son contenu se répandit sur le sol.

Elle fronça les sourcils et laissa échapper un profond soupir de froissement. En remettant ses longs cheveux derrière son oreille pour qu'ils ne lui cachent pas la vue, elle s'accroupit pour ramasser les objets éparpillés. Cela fit naître un sourire espiègle sur le visage de l'homme. Cette fois-ci, il s'agissait d'un sourire significatif, comme s'il venait de découvrir quelque chose de vraiment intéressant.

Descendant rapidement du lit, avant que la femme n'eut l'occasion de l'arrêter, il ramassa un passeport qui était dans un coin. Naturellement, il feuilleta les pages du passeport et il ne put s'empêcher d'élargir son sourire.

"Chloé Martin ?" dit-il en lisant à haute voix le nom.

"Rends-le-moi !" hurla la jeune dame.

En entendant son nom être prononcé par l'homme, la dame qui était occupée à ramasser les choses sur le sol, se leva rapidement pour prendre le passeport de sa main. Ses beaux yeux étaient enflammés de colère et de feu, regardant fixement l'homme irrespectueux qui avait pris son passeport sans son consentement.

Elle n'avait probablement pas anticipé que ce qui allait suivre serait encore plus irrespectueux. Tout d'un coup, il la tira dans ses bras, savourant l'arôme familier de la femme qui flottait dans ses narines. Étant gardée si près de l'homme pour la première fois dans son état conscient, elle commença à devenir nerveuse et son pouls se mit à s'accélérer. Avec son pouls, sa respiration s'accéléra également. Subitement, les sensations de cette nuit folle lui revinrent en tête.

"Allons-nous nous embrasser pour nous dire au revoir ?" demanda le coquin d'un ton enjoué.

Malgré le fait que c'était déguisé sous la forme d'une question, cette phrase était en réalité une affirmation, pour montrer qu'il était assez respectueux pour demander l'opinion de la fille dans ses bras. Mais, apparemment, il n'y avait qu'une seule réponse pour elle, car la femme n'avait aucun endroit où s'échapper. Dès qu'il eut fini la phrase, il ne lui laissa pas le temps de donner sa réponse. Il scella sa bouche avec ses lèvres sexy.

Avec ses bras autour de la taille de la dame, l'homme ne lui laissa pas la moindre chance de résister. Après le long baiser, la dame pouvait à peine se soutenir, alors elle n'eut d'autre possibilité que de continuer à se blottir dans son étreinte. Fixant l'homme avec une colère grandissante, elle se sentait de plus en plus fragile à chaque seconde qui passait. L'instant d'après, elle n'attendit pas plus longtemps pour s'échapper de cet endroit, laissant ses affaires encore éparpillées sur le sol et un sourire scandaleusement malicieux derrière elle.

Avec un fort 'bang' de la porte, la spacieuse pièce était à présent laissée à l'homme, surpris et seul.

Ses yeux balayèrent la pièce comme s'ils essayaient de trouver une trace de la présence de la femme. Finalement, ils tombèrent sur les traces de quelque chose de couleur rouge sur la couverture. Maintenant, son sourire devint plus énigmatique et difficile à interpréter.

Cet homme avait vécu à Rome pendant de nombreuses années. Juste la nuit passée, il avait été invité à une soirée de vin, au cours de laquelle il avait croisé cette demoiselle envoûtante. Dans ses nombreuses aventures d'une nuit, il était très rare que sa partenaire soit vierge. Était-ce de la chance ? Il ne put se donner de réponse, du moins pas pour le moment.

Ce dont il était conscient, c'était que cette femme avait laissé une impression indélébile dans son esprit. Jusqu'à présent, il savourait encore la nuit folle qu'il avait passée avec elle et son parfum était toujours présent dans son nez.

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