Home/ Après le divorce, c'est la libérté et la richesse Ongoing
Trois ans de mariage, Xin Ning a tout donné, mais elle n'a jamais pu avoir le cœur de Tingchen Mo. Au pire, il voulait même qu'elle donne son rein à sa maîtresse. Ning Xin est donc retournée chez elle pour devenir la PGD riche.
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"Aujourd'hui, c'est notre troisième année de notre mariage. Pourquoi n'est-il pas encore rentré ?"

Xin Ning avait préparé une grande table de plats et attendait avec impatience le retour de Tingchen Mo. Soudain, des bruits de pas se sont fait entendre derrière la porte. Elle a légèrement pincé les lèvres et a levé les yeux, mais son sourire s'est figé d'un coup.

Tingchen était revenu, mais accompagné d'une femme qui lui était familière ... C'était Wanyi Tang, sa maîtresse sans vergogne !

Ils étaient mariés depuis trois ans, et Tingchen l'avait négligée pendant trois ans.

Les nuits où il ne rentrait pas à la maison, elle recevait toujours des photos ambiguës et des messages évocateurs de Wanyi.

On lui rappelait tout le temps que son mariage qu'elle avait arrangé n'était qu'une blague.

"Oh ! Xin a cuisiné beaucoup de plats !"

Wanyi s'est blottie contre Tingchen, a couvert sa bouche et a dit en souriant : "Je suis vraiment désolée de vous déranger. Xin est si géniale ! Moi, je ne sais pas cuisiner. Tingchen s'occupe de mes problèmes de santé et ne me permet jamais d'aller dans la cuisine."

Xin a serré les lèvres avec une pointe de tristesse dans ses yeux.

Wanyi ne cessait de lui rappeler que Tingchen était si attentionné envers elle qu'il semblait n'y avoir de la place que pour elle dans son cœur.

"Donc ..." Xin l'a regardée avec indifférence et a dit froidement : "Maintenant, la maîtresse est librement invitée à la maison ?"

En entendant cela, Wanyi s'est immédiatement sentie visée et ses yeux sont devenus rouges. "Xin, de quoi parlez-vous ? Vous vous méprenez. Tingchen et moi n'avons pas le genre de relation que vous imaginez ...

Le médecin m'a seulement dit de mieux manger. J'ai entendu dire que tu étais une bonne cuisinière, alors j'ai supplié Tingchen de m'emmener chez vous pour manger. S'il vous plaît, sœurette, ne vous mettez pas en colère ..."

"Mlle Tang, s'il vous plaît n'essayez même pas de parler avec moi."

Le visage de Xin était impassible, mais ses poings dans son dos s'étaient déjà serrées fermement de colère. "Déjà, je n'ai pas de sœurs, et il ne me semble pas que nous soyons amies non plus, alors je vous prierai de vous adresser à moi avec politesse et respect. De plus ... mon repas a été préparé pour mon mari, et je n'ai pas de temps à perdre avec vous."

"Qu'est-ce qui te prend ?" En entendant cela, Tingchen a froncé les sourcils. "Xin, ce n'est qu'un repas. Pourquoi dois-tu avoir des mots aussi durs ? C'est comme ça que tu traites tes invités ?"

"Oui !" À l'étage, la sœur de Tingchen, Sisi Mo, est également sortie en entendant les voix en bas. Son visage était plein d'impatience.

"Tu es pourtant mariée depuis si longtemps, mais tu es toujours aussi mal élevée ! N'es-tu pas entrée dans notre famille uniquement pour nous servir ? Quel est le problème de servir une personne supplémentaire ? Tu es si prétentieuse !"

Sisi s'est assis à la table à manger et a souri à Wanyi. "Wanyi, viens, assieds-toi ici."

À la table, Sisi et Anyi discutaient joyeusement.

Un téléphone portable a sonné. Après avoir répondu, Tingchen avait l'air un peu inquiet. "Xin, je vais à l'entreprise pour m'occuper de certains problèmes. Je ne rentrerai pas ce soir."

Tingchen est parti en trombe.

Elles n'étaient alors plus que toutes les trois à la table à manger. Xin en a perdu l'appétit et a a dit d'un ton léger : "Prenez votre temps. Je suis repue."

Ensuite, elle a ramassé les bols et les baguettes, s'est retournée, puis est remontée à l'étage.

Au rez-de-chaussée, Wanyi a dit avec un visage amer : "Sisi, est-ce que Xin est en colère contre moi ? C'est entièrement de ma faute ..."

"Oh, elle est toujours comme ça. Ne cherche pas à parler avec elle ..."

Xin est retournée dans sa chambre. Après avoir fermé la porte, elle s'est effondrée sur le lit.

Elle ne pouvait s'empêcher de se rappeler tout ce qui s'était passé au cours des trois années précédentes.

La première fois où elle avait rencontré Tingchen, c'était à l'école. Et elle l'avait vu énoncer un discours.

Depuis cet instant, elle avait voulu l'épouser.

Mais une fois devenue réellement sa femme, elle avait alors compris combien il était difficile de maintenir un mariage heureux.

Tingchen était quelqu'un de très gentil, mais il n'avait jamais été gentil avec elle.

Tingchen était quelqu'un de très puissant, mais il ne l'avait jamais protégée.

Afin d'être en bons termes avec lui, elle avait ravaler toute sa fierté et avait travaillé comme une esclave dans la famille Mo. Elle avait pris soin de ses parents et s'était occupée de toutes les tâches ménagères de cette famille.

Elle avait toujours pensé que tant qu'elle serait attentive, il y aurait bien un jour où Tingchen aurait une bonne opinion d'elle.

Elle avait toujours pensé qu'il apprécierait ses efforts et commencerait à se soucier de ses sentiments.

Mais il ne l'a jamais fait.

Dans leur 3e anniversaire de mariage, il avait même amené sa maîtresse avec lui.

"Toc toc toc !"

On frappait à la porte.

Xin s'est levée et a ouvert la porte. Elle a découvert à nouveau le visage faussement pitoyable de Wanyi. "Xin est-ce aujourd'hui votre anniversaire de mariage avec Tingchen ? Je suis désolée, c'est ma faute. Je ne voulais pas vous déranger ..."

"Cela suffit."

Xin l'a regardée froidement et a ajouté directement : "Tingchen n'est pas là, vous n'avez donc plus besoin de faire semblant. Dites franchement ce que vous avez à dire."

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