Home/ Vengeance à mon ex-mari Ongoing
Mon mari a couché avec la fille de ma sœur... oui, ma nièce de 18 ans.
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Je m'appelle Lin Shihan. Ce furent notre neuvième anniversaire de mariage.

Mon époux me choisissait un cadeau chaque année pour marquer l'occasion et cette année ne fut pas une exception à la règle.

Alors que j'étais perdue dans mes pensées, une notification apparut sur l'écran de mon téléphone portable avec un "ding." Il s'agit de la notification d'une dépense de cinquante mille yuans et le paiement provenait d'un magasin Chanel.

Lorsque je vis le message, je fus assez déconcertée.

Ce ne fut pas le fait que je ne puisse pas supporter de dépenser de l'argent, mais mon mari n'était pas une personne dépensière. Autrefois, peu importe ce qu'il m'offrait, tant que cela fut avec amour, j'en étais très heureuse.

Dépenser une grosse somme n'était pas son genre.

Cet article de luxe à cinquante mille yuans était-il pour moi ?

Dès que cette idée me vint à l'esprit, je la rejetai immédiatement.

Je fis la connaissance de mon mari quand je fus à l'université. Lorsque je le rencontrai pour la première fois, il se tenait sous un cerisier, vêtu d'une chemise blanche et d'un jean. Il tourna la tête et me sourit et ses yeux noirs semblèrent magiques.

Il attira immédiatement toute mon attention.

Juste ainsi, je tombai amoureuse de lui au premier regard.

Peu de temps après, il m'avoua son amour en public. Avec la bénédiction de tous, nous devinrent le couple parfait de l'université. Après trois ans de relation, nous nous mariâmes naturellement.

Notre vie après notre union fut encore plus heureuse. Il était un homme bon, du type à n'exister que dans les séries télévisées. Il fit non seulement toutes les tâches ménagères, mais il me gâta aussi, me traitant comme une princesse.

Bientôt, nous eûmes une adorable fille, Sheng Qingqing.

La raison pour laquelle il choisit ce nom fut qu'il espéra que sa fille serait toujours un petit soleil dans sa vie, pleine de vitalité et de chaleur.

Un foyer aussi heureux n'était pas une illusion. Mon mari, Sheng Yu et moi travaillâmes d'arrache-pied pour y arriver progressivement. Je n'aurais pas dû perdre la confiance dans le mariage pour une chose si insignifiante.

Juste à ce moment-là, mon mari appela.

Je décrochai et demandai à voix basse : "Chéri, qu'y a-t-il ?"

J'étais toujours au travail et j'étais au bureau, entourée de collègues qui travaillaient consciencieusement. Je fus timide par rapport à l'appel de mon mari, alors je dus courir aux toilettes pour parler à mon aise.

Mon mari, à l'autre bout du fil, répondit doucement : "Il y a assez à faire dans l'entreprise aujourd'hui. Xiao Fan est sorti acheter un cadeau pour sa femme et a utilisé ma carte."

Bien que la carte fut à mon nom, elle contenait notre fonds commun. Nous convînmes antérieurement que cet argent était destiné à une utilisation d'urgence et que nous ne le dépenserions que si nous n'eûmes pas d'autre choix.

Mon mari réfléchit un moment et ajouta : "Je remettrai cette somme à sa place sous peu."

Je souris et répondis : "Ne t'inquiète pas. De toute manière, nous n'avons pas besoin de cet argent dans l'immédiat."

Le Xiao Fan auquel il faisait référence était son jeune frère, Sheng Fan. Il fut compréhensible que mon mari veuille aider son jeune frère à acheter des cadeaux. Au bout du compte, ils formaient une famille.

Voyant que cette histoire ne me dérangea pas, il raccrocha le téléphone.

Mon époux se souciait tellement de ce que je pensais, chose que je trouvai extrêmement gentil. Tout le monde autour de moi m'enviait d'avoir épousé un homme aussi aimant.

Dès qu'il fut temps de quitter le travail, je me dépêchai de rentrer à la maison.

À mon arrivée, je constatai être rentrée presque une demi-heure plus tôt que d'habitude.

Je pris la clé et ouvris la porte. Lorsque je fus sur le point d'appeler mon mari, j'entendis le séduisant gémissement d'une femme et le rire de mon époux.

Pendant un instant, tous mes mots restèrent coincés dans ma gorge.

Serrant les dents, je me dirigeai tranquillement vers la chambre principale. Quand j'ouvris la porte, je vis mon compagnon assis seul sur le lit, regardant fixement son téléphone.

Il était torse nu et les cheveux sur son front étaient un peu en désordre.

Lorsque nos regards se croisèrent, mon mari fut quelque peu embarrassé.

Je jetai tranquillement un œil dans la chambre et ne vis que mon mari. La colère que je ressentis sous peu se dissipa en grande partie. Je pris une profonde inspiration et lui demandai doucement : "Que faisais-tu tout à l'heure ?"

Mon mari toussa anormalement. Il sortit du lit et m'étreignit de son corps robuste. Il me répondit d'une voix mesquine : "Je suis navré, ma chérie. Tu es habituellement tellement occupée que je ne voulais pas te déranger, mais je n'ai pas pu m'empêcher de regarder un film… "

Sa voix devint de plus en plus étouffée et je pus à peine entendre ce qu'il disait.

Je fus abasourdie.

Mon mari était à peine dans la trentaine cette année et il était énergique. C'était l'époque où ses besoins physiologiques étaient considérables. Il était presque minuit quand je rentrais du travail chaque jour. J'allai me ​​coucher dès que je rentrai à la maison et n'eus même pas l'énergie de lui parler.

Je ne pus vraiment pas lui en vouloir de regarder un film pour adultes. Je ne remplissais pas mes devoirs d'épouse.

Je regardai mon mari avec culpabilité. Comme à l'époque où j'étais amoureuse, je passai mes bras autour de son cou et embrassai ses lèvres. Je l'amadouai comme si je m'adressais à un enfant, "Chéri, je suis celle qui devrait te présenter des excuses."

Avant que je ne puisse finir mes mots, mon mari m'embrassa sur les lèvres.

Son souffle brûlant me frappa au visage. Il me souleva immédiatement et me posa doucement sur le lit. Une paire de mains familières m'ôta mes vêtements.

Je me sentis faillir sous lui, mais je ne pus pas m'empêcher de dire : "Non, notre fille reviendra bientôt."

"Qingqing manquait tellement à ma mère, alors j'ai pris l'initiative de lui envoyer la petite." Quand il dit cela, ses yeux brûlaient de désir.

Son corps devint de plus en plus chaud. Je tournai la tête et dit avec un visage empourpré : "Je vais alors prendre une douche."

Mon mari m'embrassait toujours dans le cou, refusant de me lâcher.

"Dépêche-toi de me lâcher ! Je ne me suis pas baignée depuis quelques jours", dis-je d'une voix douce.

En entendant cela, il me laissa partir à contrecœur.

Je me rendis dans la salle de bain pour prendre une bonne douche. Après m'être séchée les cheveux, j'enfilai délibérément de la lingerie et je retournai dans la chambre.

Le regard dans ses yeux s'intensifia de nouveau. Il me prit par la main et nous fîmes l'amour pendant plusieurs heures.

Lorsque je m'allongeai sur le lit, impuissante, je n'eus même plus la force de lever la main. Il me fixait toujours avec des yeux brûlants, comme s'il eut envie de recommencer…

Je levai rapidement la main en signe de reddition et me rendis. "Chéri, je suis tellement épuisée."

Il s'approcha et me regarda avec regret. Finalement, il m'embrassa juste sur le front et me dit, impuissant : "Eh bien, couche-toi tôt alors. Ne reprends pas le travail avant deux ou trois heures du matin."

"Promis", dis-je en hochant la tête à plusieurs reprises.

Cette fois-ci, il me lâcha et se dirigea dans la salle de bain.

Alors que je fus sur le point de m'endormir, un téléphone portable résonna.

Je jetai un rapide coup d'œil à l'écran avec mes yeux mi-clos et je vis une rangée de mots.

"Frère, as-tu réfléchi à la façon d'expliquer l'achat du sac de cinquante mille yuans à ma belle-sœur ?"

Presque aussitôt, je pensai au message d'alerte que je reçus dans la journée.

Sheng Fan n'acheta-t-il pas le sac pour son épouse ? Qu'il eut-il de difficile à expliquer ?

Cela ne me dérangea pas d'offrir un cadeau à ma belle-sœur, mais que voulut dire Sheng Fan par là ?

À cette pensée, mon esprit retrouva toute sa clarté.

Je relus cette phrase maintes et maintes fois. Alors que je fus sur le point de déverrouiller le téléphone portable de mon mari et de vérifier l'historique de ses discussions, il sortit de la salle de bain.

Lorsqu'il vit que je tenais son téléphone portable, il devint immédiatement anxieux. Il se précipita et me demanda rudement : "Que fais-tu ?"

En voyant son expression anxieuse, je devins de plus en plus confuse.

Mon sixième sens de femme me susurra qu'il devait me cacher quelque chose.

Je lui demandai sans hésiter : "Pour qui as-tu acheté un présent avec les cinquante mille yuans ?"

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