Home/ Éprise de Mon Mystérieux Mari Completed
J'ai été piégée par ma meilleure amie qui avait demandé à un inconnu de me dépuceler, mais il s'est avéré que l'inconnu était un PDG sexy.
About
Table of Contents
Comments (183)

— Humm, ça fait tellement mal ! 

Valeria Brown, qui était encore dans un profond sommeil, se sentait extrêmement mal à l'aise. Elle se retourna et roula dans le torse d'un homme.

Ce contact qu'elle eut avec cet être complètement étranger la réveilla en sursaut. Soudain, un beau visage d'homme lui apparut devant ses yeux.

Au début, Valeria crut qu'elle rêvait. Incrédule, elle tendit la main pour toucher le visage en face d'elle.

Au même moment, l'homme ouvrit ses yeux et la fixa. Quand leurs regards se croisèrent, Valeria poussa un cri et sauta sur le côté.

Elle réalisa donc qu'elle ne portait rien. Valeria bégaya en attrapant immédiatement la couverture pour s'y enrouler.

— Qui… Qui es-tu ? Pourquoi es-tu ici ?

L'homme plissa les yeux. Puis, son regard erra sur l'épaule de Valeria.

— Ton sauveur, répondit-il à voix basse. Ses yeux s'assombrirent.

Son sauveur ? Stupéfaite, Valeria observa le bel homme couché sur le lit. Elle pensa à la voix pleine de ressentiment de sa meilleure amie Ashley Evans qu'elle avait entendue la nuit dernière avant de perdre connaissance.

« Valeria, je viens de mettre le philtre le plus fort dans ton thé à l'instant. En tant qu'une amie, je t'ai trouvé le meilleur gigolo ici. Il est plutôt jeune et joli. Amuse-toi bien ! Je crois que quand Mason verra la photo de toi en train de jouer avec d'autres hommes, il va rompre avec toi. Quand cela arrivera, je deviendrai sa nouvelle petite amie. »

Alors, ce beau mec était-il le gigolo qu'Ashley avait trouvé pour elle ?

En pensant à cela, Valeria se sentait tellement irritée et son visage devenait pâle. Elle attrapa alors l'oreiller à côté d'elle avant de le jeter sur l'homme.

— Je vais te mettre en prison et tu n'y sortiras jamais !

Face à une telle rage, l'homme semblait être étrangement calme. Il attrapa simplement l'oreiller. Il n'était pas du tout effrayé.

— La nuit dernière, tu m'as pris dans tes bras. En fait, tu faisais tout de ton plein gré. Tu crois que la police va te croire ?

Valeria mordit la lèvre sous l'effet de la colère. Bien qu'elle soit furieuse, elle garda son bon sens.

L'homme avait raison. Elle ne pouvait pas se présenter à la police. La nuit dernière, elle était tombée dans le piège d'Ashley tout en étant inconsciente. Elle n'avait probablement pas résisté du tout et était arrivée même à lui proposer de coucher avec elle. Selon ces circonstances, la police n'allait pas croire à ses paroles.

Mais si elle ne se rendait pas à la police, son innocence serait ruinée à jamais par un homme indigne. Comme il était sale !

Valeria ne pouvait pas accepter le fait que sa virginité ait été prise par un gigolo grossier.

En voyant son visage désespéré, l'homme eut pitié d'elle.

— Même si c'était toi qui se jetais sur moi en premier hier soir, je peux garder ma responsabilité envers toi si tu veux, disait-il d'une voix douce après avoir vu les marques rouges sur le drap.

Un gigolo responsable ? N'était-ce pas une grosse blague ?

De nouveau en colère, Valeria pointa l'homme du doigt et rugit de façon incontrôlée.

— Dégage de là ! Ou je te tue !

Face à son hystérie, l'homme se leva, ramassa ses vêtements avec désinvolture et les enfila sans aucune panique.

Après s'être habillé, il tourna la tête, sortit une carte de visite de sa poche et la tendit à Valeria.

— Si tu passes par ici, appelle-moi. Je pense vraiment ce que je dis…

Mais Valeria arracha la carte sans y jeter un coup d'œil.

— Sors !

N'ayant pas d'autre choix, l'homme lui jeta un dernier regard profond et tourna les talons.

Après avoir fermé la porte, il entendit la fille sangloter dans la pièce. Ainsi, il s'arrêta un moment, puis secoua la tête et traversa le couloir.

Deux hommes, ressemblant à des gardes du corps, apparurent discrètement au bout du couloir.

— Monsieur Howard ! s'exclamaient-ils à l'encontre de l'homme inconnu.

Ce dernier reprit son expression habituelle, pleine de dignité et d'arrogance.

— Vérifiez le profil de la fille et faites-moi un rapport tout de suite !

— Oui, monsieur Howard !

You may also like

Download APP for Free Reading

novelcat google down novelcat ios down