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Voilà ce que je  suis une femme différente, vous allez savoir pourquoi?  bah attendez un peu que je me décrive un peu avant. Une femme simple malgrè tout, une taille moyenne aux bleue clairs, cheveux rouge mi long. Une ingénieure commerciale ou proprement parlé une chargé d'affaire. J'ai beaucoup de connaissances grâce à mon travail, et pas d'amis. Du haut de mes 30 ans, je suis loin d'être une femme normale, plus mes parents à mes côtés, ma mère est morte en couche et mon père a été assiné il y a dix ans. Ce n'est pas cela qui me rend différente, enfin presque, encore la couleur de mes cheveux. Ma différence, je la dois à mon père et vous allez comprendre pourquoi plus tard.  

Une soirée, une seule soirée à tout changé. Tout ma vie a changé. Une seule rencontre. Et mon passé devient tout à coup le goût amer. Le passé de mon père est loin d'être simple et humain. Tout ce changement, je le dois à un homme, enfin si je peux dire ou le décrire comme cela. Cet homme ou quel qui soit peut être, cette chose à une carrure immense, de larges épaules, il doit mesurer au moins les deux mètres, alors du haut de mon mètre soixante cinq, je peux vous dire que je me sens toute petite.  

Enfin bref. C'est lui qui va tout me révéler lors d'une soirée. Une soirée assez spéciale.   Donc je me prépare pour une soit disant soirée dont je suis invitée avec une amie. J'avais reçu cette invitation un peu étrange. Une invitation déguisée, mais ça je vais m'en apercevoir une fois sur place. Sur ce carton d'invitation, il est précisé du code couleur et la tenue exigée. Je m'exécute et m'affaire, une robe simple mais class, de couleur blanche.  

Avec mon amie, nous sommes en route vers l'inconnu, si je puisse dire. On ne connait pas l'endroit nous sommes conviés. Le chauffeur qui nous ait été envoyé, nous stop devant une batisse énorme. Bordel, mais c'est un chateau. Un homme ouvre la grande porte en boite, on va dire plûtot un major d'homme. Il amène dans une grande salle. Il y a très peu de personnes, pour être honnête, nous devrons être pas plus d'une cinquantaine de personnes, et que des femmes. Je rêves, franchement dite moi que je rêve  ! Au fond de la grande salle, il y a un trône. Ça existe encore ce genre de  choses ? On est plus au moyen âge. Ce trône est posé sur une grande estrade. Sur celui-ci il y a plusieurs personnes, des hommes à première vu, ils sont bien balaise, des colosses. Un de ces colosses me regarde, ne me lâche pas du regard, c'est vraiment déstabilisant. J'ai beau lui tourné le dos, je sens son regard, où que j'aille, je le sens.  

Avec mon amie, on va boire un verre et commence à faire connaissance avec les autres femmes. Comme les huits hommes, enfin avec celui qui est assit sur le trône ils sont neuf, ne bouge pas d'un poils. Comme si on était toutes des proies. Ils nous regardent avec une telle intensité qui glace le sang. Un peu plus tard, une femme arrive en robe rouge avec une magnifique chevelure noire, avec une couronne. Bon  !! Où je suis tombée ? C'est une blague, c'est ça, une caméra cachée  ?                              

Bon passons, hein, pourquoi s'atarder sur ce genre de truc. Après cette femme en rouge, d'autres apparait, avec une espace de cape, une capuche sur la tête on ne voit leur visage. Ça aussi c'est assez louche. La reine, enfin je crois, ce dirige vers l'estrade, se positionne derrière celui qui installé sur le trône, celle leur cape derrière les colosses.  Franchement je comprends en rien leur céromonie.  

A quoi bon comprendre. Bizarrement je sens toujours son regard dans mon dos, que j'en frissonne. Avec mon amie, on se regard dans les yeux sans comprendre ce qu'il nous arrive. Puis on décide de reprendre un autre verre, je crois on en a besoin, surtout moi. Il va m'arriver quelques choses, j'en suis persuadée. A peine que j'ai pensé c'la, une voix me dit, ou il me dit, "tu n'as pas idée beauté" ! Bordel ! Juste le temps de tourner vers eux, qu'il est devant moi, je lève la tête. Mon dieux il est immense, avec un sourire en coin, il me prend la main. Je jette un coup d'oeil à mon amie, qui amené où je ne sais où, c'est une des personnes à capuche qui la tire. Je m'apprète à la rejoindre pour savoir, que le colosse m'avertit "ne t'avise pas de la rejoindre maintenant, tu la verra plus tard, elle est nommé où il y a une autre cérémonie".  

C'est vraiment louche cette affaire, je le sens vraiment peur pour elle. Je ne la vois plus et lui me tire encore sans trop me faire mal. Il me demande de me détendre. Et bien voyons,  mon amie part autre part et moi je dois me détendre. Quelque chose en moi monte en force, les nerfs monte vite, en force monte aussi que j'arrive à me dégager de sa prise. Quand il regard vers moi, il fronce les sourcils. Puis il me sourit, c'est à mon tour de froncer les sourcils. Quoi? Qu'est qu'il me veut ? J'ai quelques choses sur ma figure ? Et encore une fois il répond à ma question silentieuse " non, j'aime vous  voir avec votre expression, ne vous inquiétez pas, votre amie est entre de bonnes mains, elle risque rien et vous non plus d'ailleurs... Vous m'accordez cette danse? " Sans me rendre compte, la musique remplie la grand salle et remarque que certainement femmes parte avec les capuche, on est plusque une petite poignet, à vrai dire une petite dizaine, toutes on a la même expression au visage, choquées. C'est le mot, on est choquée !  

Et comment ça se fait qu'il entend ou lit dans les pensées. Bon je verrais ça plus tard. Et si je vous décrivait ce colosse  ! Bon vous avez compris il mesure au moins deux mètre, tellement grand que je suis une petite souris à côté. Un beau brun, aux yeux noisette, sa peau halé, mon dieux que je goûterais bien sa peau. Mais qu'est qui m'arrive?  quand à son touché, j'en frissonne. Quand je rentre en contacte avec sa peau, je n'ai pas envie d'en m'écarter. Comme si je suis déjà toute à lui, alors que je ne connais ni d'éve ni d'adam. Il me sert contre lui, je me sens étrangement en sécurité. Mais une blonde sombtuseuse vient vers lui et me sépare de lui. Je ne sais pas agir, mais une colère monte en moi, une chose qui met jamais arrivée. Je supporte pas que me sépare de lui, de sa peau. Je passe mes mains dans longues boucles et soupire longuement avant de décider de quitter cet endroit qui tout d'un coup m'opresse.

Sans regarder derrière moi, je file, je bouscule toutes personnes à travers mon chemin. J'ai litérablement besoin d'air. Je ne suis pas bien. Le chauffeur qui nous a conduit ici, est là devant moi, euh  ! Comment il a su ? Ils ont tous un pouvoir quel conque ? L'autre zozo lit dans les pensées et le chauffeur?  bah je ne sais pas. Je ne sais ou je suis tombée.   Il faut que je fuit au plus vite. Je monte dans la voiture. La traversée de la ville, car oui c'est l'opposé de mon appartement. C'est passe vite, tellement perdue dans mes pensées que je n'ai rien vu du retour. Allongée sur mon canapé, pas encore changée, je repense à tous ce qu'il a pu arrivé dans cette soirée, enfin le peu que je suis restée.  

Comment je peux être attirée par un homme alors que je ne connais pas. Les souvenirs de mon père reviennent "ma fille ne fais pas confiance aux hommes, ne fais confiance cas toi, à ton jugement, ne laisse personne te marcher sur les pieds, ne te fait pas embobiner par qui que se soit" voilà ce que mon père me disait.  

Je sors de ma douche, le jet chaud sur ma peau m'a bien détendu. Mais rien je sens ça présence chez moi. Bordel, qu'est qu'il fout ici ?  Je met mon leggings et un tee shirt de mon père et sort de ma salle de bain en faisant un chignon à la vite fait sur haut de ma tête. Une chose que je ne supporte pas c'est bien qu'on débarque chez moi sans avertir. Ah oui c'est vrai, il n'a pas mon numéro de portable et temps mieux.  

- je peux savoir ce que tu fous chez moi sans être invité?  

Lui - pourquoi t'es partie sans m'avertir?

- je ne te connais pas et je ne te dois pas de compte à rendre à personne et ni encore moins à toi. Et comment t'as eu mon adresse et où est mon amie?  

Il me regarde, enfin il regarde mon tee shirt en fronçant les sourcils. Bordel quoi encore !    

Lui - comment as-tu eu ce tee shirt?

- en quoi cela te regarde?

Lui - répond! en me hurlant dessus.  

Là je vois rouge, putain, qu'est peut lui foutre?  une colère monte, je suffoque presque, son froncement de sourcil s'accentue.  

Lui - répond moi où as-tu eu ce tee shirt?  

- mon père, voilà t'es content maintenant tu dégage de chez moi.

Lui - nan je ne  partirait pas.

- allons bon et pourquoi ça, demain je part en déplacement, donc je dois faire mes valises, donc j'aimerais que vous quittiez cet appartement s'il vous plait.  

Il me rend folle, il se prend pour qui lui  ? Comme je l'ignore, au bout d'un moment il s'en va. Mais franchement, il n'est pas croyable celui-là. Je prépare mes affaires, je jette un coup d'oeil à mes dossiers de mes futures clients. Valises faites, passeport dans mon sac, portable chargé. En clair, tout prêt pour demain. Nous serons dimanche mais comme j'ai un rendez vous important lundi de bonne heure à Londres, donc il était hors de  questions que j'arrive fatiguée et avec le  décalage horaire dans la tronche. Je sais qu'il est encore là, son hora est si imposante, je peux vous dire qu'il est pas bien loin. Oh oui, il est là et je ne sais pas pour quelle raison.  

Mon avion vient d'attérir sur le sol de l'Angleterre. Et je ne ressents plus la présence de cet homme, car jusqu'à l'aéroport il était encore là, sans que je puisse le voir. Comme un fantôme, puis au levé du soleil plus rien.  

Premier rendez demain et pour l'instant j'ai juste besoin de dormir, car la nuit n'a pas été de tout repos, je le voyais dans mes rêves aussi bizarre l'un après les autres. Il est dans ma tête même quand il n'est pas là, et c'est franchement fatiguant.  

J'ai enfin réussit à me reposer sans l'avoir dans ma tête. Je profite de se calme pour visiter la ville. Londres, une ville que j'ai toujours envier. Je  pense même à vouloir faire une demande de mutation ici, le New Jarsey est bien, pas trop loin de New York. Mais les souvenirs de l'assisnat de mon père me pèse de plus en plus. La police n'a rien fait pour découvrir qui a pu lui faire une chose pareille. Dix ans que je me demande qui lui en voulait autant. Mourrir dans une telle souffrance, des balles sur tout le corps, la gorge tranché. Je me rappelle des photos, le massacre. Surtout de l'appel, j'était à Boston pour mes études. J'ai pleuré toutes les larmes de mon corps quand la police m'a avertit. Anéantie et en colère. J'ai harcelé le policier qui était en charge du meutre de mon père. Mais rien y fait. Toujours le même résultat. R.A.S. Voilà quoi, rien à signaler. Mais il se foutait de ma gueule.  

Deux jours que je suis ici, deux jours où je fais que des cauchemards. Toujours le même, il est là mais cette blondasse, imposant, elle sourire aux lèvres accrochée à son cou. Et plus les jours passent, plus je ressent comme un vide en moi. Et ça vas pas allez en s'améliorant car, demain je part pour la suisse. En suite l'Espagne et pour finir la France. Tout cela en trois semaine. Boulot, beaucoup de boulot. Je me suis plongée dedans pour pas devenir folle, car les rêves et cauchemar, me semble si réelle. Que j'en devient folle. Et si c'était réelle, qu'elle est  devenue sienne. Et ça fait un mal de chien.  

Mon père m'avait avertit que les choses risquant de changer, que je risquait de changer. Et je crois que je vais bientôt m'écrouler, tellement que ça devient insupportable.

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