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Je ne sais pas quand est-ce que c’est arrivé, mais je suis tombé éperdument amoureuse de Darell.

Jamais je n’aurais pensé que cela aurait pu se produire, moi qui le méprisé de tout mon être, moi qui le détester, comment ai-je pu tomber sous son charme.

Aujourd’hui c’est notre deuxième anniversaire de mariage et bien sûr pour Darell, c’est un jour qui ne signifie rien, ce jour l’es indifférent, je me demande même si, il se souvient de la date de notre mariage.

J'ai passé toute la journée à l’attendre, j’avais espoir qu’il entre un peu plus tôt en ce jour spéciale, j’avais espoir qu’il se souvient de cette date, mais mon espoir c’est transformé en désespoir, quand je m'étais aperçu qu’il était déjà 2h du matin.

Il devait être avec Lola, son amour de toujours et qui étais-je moi pour attendre quelque chose de lui, dans notre contrat il est stipulé, qu’après notre mariage je n’aurais aucun droit sur lui et qu’il n'en aura aucun sur moi aussi, je devais juste jouer le rôle de la femme parfaite devant sa famille, mais aussi en public et une fois chez nous, nous redeviendrions de parfais inconnu.

Avant de rencontrer Darell, je vivais en Island, avec ma mère et son compagnon, Je n’ai jamais connu mon père, apparemment c’était un millionnaire qui fluter avec ma mère et lorsqu’il a découvert que ma mère était enceinte il mi les voile.

Malheureusement ma mère ne pouvait plus interrompre sa grossesse et était obliger de me garder. Ma mère avait hérité un caractère féroce de ses descendent, elle était une femme forte, ce qui l'aida elle à assumer sa grossesse et à ne jamais laisser les gens marchés sur ses pieds, elle ne garder jamais sa langue dans sa poche et ne laisser jamais les autres lui dire ce qui était bon pour elle.

Heureusement pour elle j’étais un enfant poser et calme, même si elle ne cessé de me répéter que moi aussi j’avais hérité des gènes de mes descendants, elle me disait aussi que je dégager une aura particulière comme mon père et que je marché la tête haute.

Depuis toute petite, j’étais une fille spéciale aux yeux de tout le monde, les gens me disais que j’étais une très jolie fille et que je ressemble beaucoup à mon père, mais cela m’était bien égale que je le ressemblé ou non, il n’a pas assumé sa paternité et est parti comme un voleur.

Ma mère ne vivait que pour moi et n’avais dieu que pour moi mais lorsque j’ai eu douze ans elle a fait la connaissance de Johnny, et je n’étais plus sa priorité, Johnny avait deux filles c’était des jumelle Sarah et Rachel deux pestes. Rachel et Sara était des diablesse sournoise et manipulatrice tout comme leur imbécile de père qui cacher bien son jeu devant ma mère, mais une fois le dos tourner, il me faisait la misère et me jouer tous les coups tordus qui exister.

Rachel et Sarah avaient perdu leur mère à la naissance et avait une très belle complicité avec leur père, qui ne vivait que pour elles, malheureusement il n'y avait pas de place pour moi dans leurs trios.

C’était des filles, capricieuse et visseuse, que ne cessé de comploter contre moi et me faire passer pour une mauvaise fille, aux yeux de Johnny et de ma mère.

Johnny s'avait bien à quoi ses filles jouer mais telle père, telle filles non !

Ils étaient complices, et à force de comploter contre moi ils ont réussi à creuser un faussé entre ma mère et moi, les yeux de ma mère étaient aveuglés par l’amour et du jour au lendemain je me suis retrouver à la rue.

J'en voulais à tout le monde, à quatorze ans je m’étais retrouver à la rue et j’ai dû me débrouiller toute seule, je n’avais plus confiance en personne et j’ai préféré tracer ma route seul.

Je n’ai pas tardé à faire une demande d’émancipations au juge, mon dossier avait était traiter rapidement car ma mère ne s’y opposé pas, par la suite j’ai été placer dans un foyer pour mineur à ma demande, car je n’avais personne pour m’accueillir.

Malgré que ma mère me croiser dans la rue elle ne portait pas attentions à moi et m’ignorer comme une étrangère, j’ai compris rapidement que je n’avais plus de place dans son cœur et que je devais tourner la page, même si j’avais terriblement mal.

Le temps est passé et elle ne m'a jamais contacté, ni chercher à me rencontrer, je me rendais souvent devant chez elle quand j’avais besoins de réconfort et j’ai fini par constater qu’elle était heureuse s’en moi et qu’elle avait fini par me remplacer.

Le cœur briser j’ai fini par mettre une pierre sur mon cœur et j’ai essayé de l’oublier j’ai continué mon chemin, je suis rentrée au foyer et m’était promis de ne plus jamais chercher à la retrouver.

L’assistante sociale et les éducateurs du foyer s’occuper bien de moi, ils essayaient de combler le vide qu’il y avait dans mon cœur, ils étaient un peu comme les frères et sœurs que je n’ai jamais eu, ils me conseiller, m’éduquer, me rassurer et me consolais quand j’avais un coup de mou.

Je me santé comme chez moi auprès d’eux, mais je savais qu’à mes dix-huit ans il fallait me trouver un nouveau logement car je ne serais plus mineur et qu’il fallait que je me débrouille par moi-même, alors j’ai anticipé et je m’étais mise à la recherche d’un emploie. Même si j’étais encore très jeune, juridiquement j’en avait le droit car j’étais émancipé.

Malgré mon jeune âge j’étais très intelligente et assez maligne, j’ai réussi à me trouver un emploi, chez un commerçant du cartier il était d'âge moyen, il n’était pas si vieux mais il n’arriver pas à s’organiser dans son travail et a fini par perdre le fil, ce qui a presque causé sa faillite.

Il avait besoins d’une personne pour l’aider et je tomber à poing fermer, de plus ça l’arranger que je ne puisse travailler toute une journée, car il n’avait pas les fonds nécessaires me payer. Deux heures de boulot par jours lui suffisaient amplement.

Il vendait un peu de tout dans son commerce, mais il y avait un sacré bazar qui faisais fuir les clients plus qu’autre chose. Il m’a fallu deux mois quand même pour mettre de l'ordre dans le commerce et un mois de plus pour les papiers, il ne cessé de chanter mes louanges et me dire que j’étais rusé comme un renard, ce qui me flatter et faisais pousser mes ailes.

Au fil du temps ces anciens clients son revenue quand ils ont vu que le commerce avait repris du poil de la bête, ce qui n’était pas une tâche facile, car j’ai dû refaire toute la déco, car l’ancien daté du temps où je n’étais encore de ce monde.

Le temps est passé et mon professionnalisme a fini par payer, j’ai pu avoir toute la confiance du gérant Mr COISSER et d’autre commerçant du cartier qui était aussi au bord de la faillit, pas mal d’entre eux me contacter pour avoir mes conseille et me demander même de les aider à remonter la pente.

Cette expérience m’a fait ouverte les yeux sur le chemin que je devais emprunter, j’aimer la gestion, gérer les entreprises, ça me réussissait et je savais que j’étais faite pour ça.

Je savais vers quelles filières me tourner et les personnes qui m’entourer m’encourager vers cette voix, alors j’ai fait de mon mieux pour y parvenir. Le temps passé à grande vitesse et j’ai poursuivi mon rêve jusqu’à obtenir mon diplôme. Mais mon rêve ne s’arrêter pas là, je souhaiter découvrir le monde et commencer par les Etats-Unis ou toutes les élites se trouver.

Alors après l’obtention de mon master à l'âge de vingt-et-un an j'ai plié bagage, fais mes adieux et je me suis rendu aux Etats Unis. Avant de prendre l’avion je m'étais retourner pour dire un dernier adieu aux personnes qui m’avait soutenue et encouragée et j’avais espoir de voir une dernière fois ma mère pour la serré dans mes bras, même si je m’étais promis de ne plus chercher à la revoir. Mais à quoi bon rêver, elle était heureuse et n’avait plus besoins de moi.

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